Combien de fois as-tu espéré les fabuleux orgasmes du point G sans jamais y parvenir ?

4 novembre 2011

 Le point G, certains disent qu’il n’existe pas

et d’autres l’ont trouvé

Et parfois, il est fabuleux. Pour celles-là, aucun doute, le point G existe bel et bien. Il est le bouton magique qu’on décrit.

Les joies du fabuleux orgasme du point G : pour toi aussi

Mais pour les autres ? Celles et ceux qui cherchent encore ?

Et celles  qui l’ont trouvé, mais chez qui il est tout discret, voire insensible, pas du tout comme tu le voudrais ?

La plupart du temps on te répond : « Chaque femme est différente, pour certaines, le point G, c’est pas leur truc ». Avec ça, il te reste juste à laisser tomber les bras…

Alors, le point G, c’est pas pour toi ? Et puis quoi encore ?

Ton corps, il est comme tous les autres, non ?

Voici une réponse toute simple :

    Le point G peut devenir aussi sensible que le clitoris

      Chez toutes les femmes

      Ton point G aussi

Spécialement pour toi, voici comment « réveiller » ton point G.

Ton point G est insensible ? anesthésié ?

Tu l’as cherché, et tu ne l’as pas trouvé. Alors, tu te demandes si tu en as un ?

Évidemment, que tu as un point G : toutes les femmes en ont un ! Mais tant qu’il est insensible, tu ne peux pas le ressentir, c’est évident. Il te sera même parfois impossible de le localiser d’ailleurs.

Il y a deux énormes pièges dans la recherche du point G : soit il s’est « fermé » pour te protéger, soit tu as une excitation insuffisante.

Donc, tu dois être bien excitée pour le chercher, avec le minou tout engorgé et gonflé.

Puis, s’il est insensible, tu dois le réveiller : il faut le rendre sensible, enlever son anesthésie.

Rassure-toi, beaucoup de femmes ont le vagin plus ou moins anesthésié. Mais tu peux le réveiller.

Tu peux le faire comme je te l’explique, à n’importe quel moment. Pas besoin d’être excitée : il faut plutôt être détendue.

Une protection ancienne

Pourquoi ton point G serait-il insensible ?

      Pour te protéger

Il s’est anesthésié, il s’est mis en mode « off ». C’est toi-même qui a mis cette protection en place, il y a des années sans doute, et de manière totalement inconsciente.

Te protéger de quoi ? Eh bien, d’une peur certaine ou hypothétique. Des exemples ?

d’un trop grand plaisir (tu n’es pas digne de plaisir)

de l’abandon dans l’amour qui fait que tu te sens vulnérable

du stress de la performance (arriveras-tu à le ressentir ?)

du qu’en-dira-t-on (c’est les s* ont besoin d’un point G, et tu n’en es pas une)

des convenances (ce n’est pas convenable)

du sexe tout simplement : ta maman te l’a bien dit : »Ne joue pas avec les garçons » etc etc.

Des vieux trucs, désormais inutiles… et pourtant, le blocage est bien là. Quand ton point G reste insensible, inconnu,  anesthésié, tu es débarrassée de ce problème : le point G n’existe pas, donc, ce n’est plus un problème.

Voilà comment fonctionne ta protection.

Alors, que faire maintenant ?

Parce qu’il faut bien admettre que cette protection t’a été utile pendant un temps.

Imagine : tu aurais eu l’air bizarre à offrir ton point G à tout le monde, non ? Comme un animal. C’est ce qui se serait passé si tu n’avais pas mis tes blocages. Mais tu es humaine, alors tu as placé des blocages bien utiles.

Mais bon, maintenant tu as grandi et tu es devenue capable d’assumer ton point G.

Maintenant, tu voudrais bien ressentir les délices qu’il procure…

Alors, tu souhaites lever ces blocages et jouir tranquillement de ton point G.

La préparation psychologique

Elle n’est pas absolument indispensable : tu peux attendre que les choses se fassent d’elle-même.

Mais elle est très utile et accélère les choses.

Car tant que tu refuses ton point G, il ne se donnera pas à toi. Il restera anesthésié.

En 2 mots, il faut que tu acceptes de ressentir les intenses sensations qu’il procure. Dès que tu auras accepté cela, il se donnera à toi, complètement.

Tu peux t’y préparer comme ceci :

Lors d’une séance de relaxation

D’abord, tu te relaxes. Plus tu es détendue, mieux ça marche.

Tu visualises – tu imagines – ton point G agréablement stimulé. Tu imagines qu’il te donne des sensations intenses et très agréables. Tu observes comment tu te sens, comment tu réagis. Est-ce agréable ?

Puis tu imagine la même situation, mais c’est ton amant qui te caresse. Il te donne des sensations de plus en plus fortes.

      Si tu ne veux pas exprimer ton ressenti devant ton amant, vas-y d’abord seule, ensuite très progressivement. Etc. Jusqu’à ce que tu te sentes à l’aise avec cette idée.

Parfois, tu te sens mal à l’aise ou gênée.

Dès que tu sens que ce n’est pas « bien » :

      Tu ralentis. Tu as trouvé un blocage

      Tu fais des essais de toutes sortes

Tu y vas plus en douceur, moins vite. Par exemple, si les sensations intenses t’inquiètent, essaie avec des sensations moins intenses, pour t’habituer progressivement.

Bref, tu joues avec tes sensations imaginaires…

En combien de temps ?

Le temps qu’il te faudra pour l’accepter  Pour t’accepter toi-même, ton corps, tes sensations.

Au fil des séances, tu iras de plus en plus loin.

C’est tout.

Quand tu te sens bien avec un point G qui t’envoie du bonheur, tu as déjà gagné.

Recommence aussi souvent que tu en as besoin.

Et l’origine du blocage ?

Aucune importance. Pas besoin de remonter à l’origine des blocages. Pas besoin de psychanalyse, de psychothérapie etc. Tu peux parfaitement ignorer pourquoi tu as placé ce blocage.

Ce qui est important, c’est que tes blocages ne restent pas en place ; qu’ils sautent, maintenant.

Peu importe pourquoi tu les as mis en place, maintenant, tu les fais sauter, parce que c’est ce que tu as décidé

        A partir de maintenant, tu t’autorises à ressentir le plaisir procuré par ton point G

Donc, tu décides de lever le blocage. Et ça suffit.

Puis, tu caresses ton point G pour du vrai

Quand tu as établi une complicité avec ton point G, quoi de plus agréable que de le caresser ?

Il se trouve juste derrière ton pubis, à l’entrée du vagin.

Quand tu es bien excitée, avec le minou et le clitoris bien gonflés, insère un doigt, plie-le et caresse-toi contre l’os.

Tu sens une zone ridée : tu es sur ton point G.

Si tu as besoin d’aide pour le trouver, lis mon article « Comment trouver ton point G »

Sexercice 1: Maintenant. Décide maintenant de réveiller ton point G.

Bravo. Tu as pris la bonne décision.

Sexercice 2. Au calme. Le soir quand tu t’endors, ou le matin, c’est parfait. Relaxe-toi et imagine une main invisible (la tienne) qui caresse ton point G. Imagine les sensations agréables et accueille-les joyeusement.

Refais-le aussi souvent que nécessaire.

Sexercice 3 : 4 semaines plus tard. Comment est-il maintenant ? Tu te rappelles ce que tu sentais le mois dernier ? Quel progrès ! Continue.

Christine Ooooohhhh !

PS : moi-même, je suis tellement copine avec mon subconscient aujourd’hui, qu’il me suffit de lui demander quelque chose pour qu’il le fasse instantanément. Donc, il me suffit de lui demander par exemple « je veux un point G plus sensible » pour qu’il le devienne aussitôt.

PPS : ça ne marche pas pour tout ! Il y a des règles à respecter. Mais c’est le principe.


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Illustration © Cristina Popescu | Dreamstime.com

Découvre le secret du véritable câlin. Celui qui t’emmène au 7e ciel.

28 octobre 2011

Testé et ô combien approuvé

« J’essaie de la faire jouir », nous dit Julien, « mais je sens bien qu’elle décroche par moments. Comment faire jouir ma femme ? »

« Je vois bien que Julien fait tout ce qu’il peut pour moi », confirme Julie. « C’est un très bon amant, très attentionné. Et pourtant, je n’ai pas autant de plaisir que je voudrais. Ou que je devrais. Alors, je stresse, et plus je stresse, moins j’apprécie ses efforts. Et mon orgasme s’éloigne, sans que je puisse rien faire… »

Tout le monde connaît cette situation. Elle est banale.

Un vrai câlin : tu es dedans, pas ailleurs !

Que peux-tu faire ?

Retourne à ton corps. Tout simplement.

Tu veux lui donner l’ultime volupté ? Fais-toi plaisir d’abord.

Quand tu câlines, mais que tu vérifies si ça marche au lieu de savourer le câlin que tu donnes, tu es dans ta tête. Et ce n’est pas gai : c’est un faux câlin. Stop.

Tu es dans ta tête : bouge-toi de là

Quand tu essaies de donner un orgasme ou du plaisir, tu es dans ta tête. Tu observes, tu évalues, tu juges.

Tu essaies d’être performant

« Est-ce qu’elle prend du plaisir ? Est-ce que je lui en donne assez ? Est-ce que je le fais bien ? Suis-je un bon amant ? » et même le fameux  » Est-ce qu’elle a un orgasme ?  »

Et quand tu essaies d’éprouver du plaisir, tu es encore dans ta tête. « Je voudrais avoir plus de plaisir… » Là aussi, la performance revient au galop : « Suis-je une bonne amante ? »

Tu observes l’autre, tu évalues les résultats de ton action

Tu juges la situation

Tu es loin de l’autre

Au lieu de prendre plaisir à ce que tu fais, tout simplement.

Tu « essaies » d’être bien au lieu « d’être » bien.  Nuance !

Reviens vite dans ton corps !

Arrête d’essayer de lui faire plaisir. Essayer, c’est déjà foirer : c ’est reporter la réussite à plus tard.  Ne reporte pas le plaisir à plus tard, quand tu auras réussi ceci ou cela.

Prend du plaisir tout de suite, maintenant

Sens le plaisir que tu prends à faire ce que tu fais

Concentre-toi sur tes sensations, sur ton corps

Sois dans le moment présent. Sois dans ton corps à toi. Près de lui, près d’elle.

Met-toi dans ton corps

Place-toi dans ta peau qui reçoit les caresses. Dans tes mains, qui touchent. Dans tes doigts qui titillent. Dans ta bouche et ta langue, qui sucent, lèchent, goûtent.  Dans ton sexe : dans ton clitoris, dans ton vagin, dans ton pénis…

Écoute ton corps. N’essaie pas de faire plaisir : prends plaisir à ce que tu lui fais

Et l’autre prendra plaisir à ce que tu lui fais.

N’essaie pas de lui faire plaisir, non. Prend plaisir à lui faire plaisir.

Fais-lui ce que tu as du plaisir à lui faire.

Et si ça ne te fait pas plaisir ?

Si ça ne te fait pas plaisir, ça ne lui fait pas plaisir non plus.

C’est devenu un faux câlin

Tu es revenu dans ta tête

Fais autre chose

Ressens ton plaisir

Tout ton corps reçoit du plaisir. C’est ce plaisir que tu peux ressentir et cultiver.

Le plaisir que tu as à caresser l’autre. Le plaisir que tu as à le lécher, à le baiser… La volupté d’être ensemble, de se faire tout ça…

Tu donnes ce que tu as

Et quand tu prends plaisir à caresser, à baiser… ça se sent.

Alors, elle prend plaisir à recevoir tes caresses. Tu les donnes avec tant de plaisir !

Plus tu aimes lui donner du plaisir…

…plus elle aime le recevoir

L’autre ressent le plaisir que tu as à le caresser, à lui faire du bien.

Plus tu prends du plaisir à lui faire plaisir, plus sa volupté grandit

« Maintenant, Julien ne m’observe plus : il prend plaisir à me câliner. Je suis très détendue. Il a tellement de plaisir à m’en donner ! La tête me tourne. Je sens son plaisir. Ça m’emmène vers des sommets inconnus », nous dit Julie.

Et ça change tout !

Sexercice 1 : Place-toi dans tes doigts. Tu sens le plaisir qu’ils ont à faire ce qu’ils font ?

Sexercice 2 : Quand tes doigts ne ressentent plus de plaisir, il est temps de passer à autre chose. Le plaisir revient ? Parfait, continue.

Christine d’Ooooohhhh !

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Crédit photo:© Dmitrijs Terentjevs | Dreamstime.com

Comment transformer ton corps en machine à fabriquer le bonheur absolu – 24h/24

21 octobre 2011

Testé et approuvé

Imagine ton corps. Il t’envoie du bonheur.

Tes jambes, tes bras, ton ventre t’envoient un bien-être absolu.

Sans sexe. Tout le temps.

Comme une sorte d’orgasme prolongé, un orgasme permanent.

Difficile à croire, non ?

Et pourtant, c’est la vérité : je le vis depuis 2 semaines.

D’autres le font. Et je sais que tu peux le vivre aussi. Si tu veux.

Ce bonheur-là... tout le temps

Le bonheur du corps

Ton corps ne demande qu’à te donner sa joie de vivre. Si tu l’écoutes. Et que tu veux bien recevoir cette joie.

On ne le sait pas. On pense que le corps n’envoie que de la douleur – ou rien, qu’il se tait.

Mais ton corps t’envoie aussi du plaisir et du bien-être, autant qu’il peut. Il aime ça.

On ne le sait pas. Tu le savais ? Moi pas.

Une caresse sur tout le corps

Imagine que ton amant te caresse, la cuisse par exemple. Ou le bras.

Tu sens le plaisir sous la caresse ? Bien. Maintenant, il enlève sa main, mais tu sens encore sa caresse.

Ta cuisse, ton bras se rappellent et ils continuent de sentir ce bien-être. Ton corps continue de te l’envoyer.

Comme quand tu as mangé du chocolat : le goût dure encore longtemps après que tu l’aies avalé.

Maintenant, imagine que ce bien-être s’étend à tout ton corps. Ton bras, ta cuisse, mais aussi toute ta jambe. Tes fesses, ton dos. Ton ventre est plein de papillons. Tout ton corps.

Voilà ce que ton corps peut t’envoyer. Si tu veux bien.

Et ça dure ?

Au début, tu penses que ça va s’arrêter. Tu as déjà vécu quelque chose dans ce genre, ça s’est arrêté tout seul.

Mais là, tu as poussé sur un bouton spécial. Cette fois, ça ne s’arrête plus.

Ça t’embête ?

Pas du tout, ça ne t’empêche pas de vivre ta vie normalement. Les gens ne voient rien si tu ne leur dis pas.

Sauf peut-être ce sourire béat collé sur ton visage. Il montre ton grand bien-être.

C’est fort ?

Pas tellement. Tu le sens surtout quand tu y fais attention.  Ce n’est qu’un début.

D’autres personnes qui vivent la même chose te disent que tu vas t’habituer. Et que ça peut monter en puissance, pour t’emmener vers de nouveaux sommets.

Plus tu y fais attention, mieux tu le sens.

Ton corps te parle 

Tu comprends vite que la relaxation, la nature, le sport, voir les amis, tout ça  augmente cette sensation.

Et que les disputes, le stress en général la diminuent, la font partir même.

Tu comprends très vite ce qui est bon pour toi. Ton corps te le fait savoir tout de suite.

C’est génial, non ?

Saine fatigue

En attendant, il faut gérer tout ce bien-être. C’est que tu n’as pas encore l’habitude !

Quel changement !

En fait, tu as baissé un seuil de sensation, et maintenant tu arrives à sentir chaque poil de ton corps – quand il se manifeste.

C’est bizarre de sentir un poil de ton bras quand tu le bouges. Tous en même temps, ce sera pour plus tard peut-être, si tu le veux.

Ton corps doit s’adapter à cette masse d’infos agréables.

Comment faire pour y arriver ?

Pour y arriver toi aussi, tu peux faire comme moi. Sans aucune garantie : c’est toi qui dois faire tout le travail…

Ce qui me semble le plus important dans tout ce que je fais, c’est :

Colle un sourire sur ton visage, tout le temps et quoi qu’il arrive

Accepte de changer. Mieux encore, changer est une des meilleures choses qui puisse t’arriver. Ça permet d’évoluer, de t’améliorer. Changer, c’est vivre

Fais de la relaxation, médite, promène-toi, fais du sport : va à la rencontre de ton moi profond

Lève tes blocages quand tu les découvres

Aime. La  vie, toi, les autres. Autant que tu peux, et laisse-toi aller à aimer

Que du bon, non ?

C’est tout le bonheur que je te souhaite.

PS: Au passage, je remercie mes amis : ils m’ont tellement aidé.

Ooooohhhh !

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Crédit photo: Stocklib © Lev Olkha

Comment j’ai arrêté de contrôler ton cul

14 octobre 2011

Bien sûr, on ne contrôle le cul de personne : chacun est libre de faire ce qu’il veut avec son cul. Tu penses ça aussi, non ?

Alors, où est le problème ?

Le problème ? J’essaie vraiment de mettre le grappin sur ton  cul. Pour du vrai. Tout en disant que « Non, je ne fais pas ça ».

Il y a quelque chose qui cloche, non ?

Contrôler ton cul ? Une grosse illusion !

Te le dire ?

Quand j’ai démarré ce blog, la question était : le montrer à mes amis ? Te le dire en face ?

C’est bien de te le dire, parce que ce sera amusant. Quand tu le lis, tu peux  en parler, donner ton avis, des idées. Bref, c’est gai.

En même temps, je trouve 1001 raisons de ne pas te le dire : mes proches  vont en souffrir, tu vas me prendre pour une obsédée du clitoris…

Et alors ? C’est normal, ça, non ? Il est où, le problème ?

Interdit d’essayer

Le problème c’est que tout ça, ce sont de fausses excuses.

La vraie raison, c’est que… je refuse avec force que tu fasses tout ce que j’explique ! Avec une force stupéfiante. J’en deviens enragée.

Je ne veux pas que tu lises mon blog, parce que je ne veux pas que tu utilises  mes recettes. Que tu les connaisses. Que tu en profites avec d’autres…

Comme si tu en avais besoin !

Alors, je garde cette info pour moi.

N’importe qui a le droit d’essayer les trucs que je donne. En théorie.

Mais pas toi !

Paradoxal, non ?

Contrôler ton cul

En réalité, loin de protéger quelqu’un: c’est un contrôle de ce que tu fais avec ton cul. Une tentative du moins.

En refusant de te donner mes informations.

J’ai des trucs ? Je les garde pour moi, et tant mieux si tu ne les connais pas : je ne te les donnerai pas.

Comme ça, c’est moi qui décide si tu peux faire ces trucs-là ou pas.

Et je camoufle ça en « Je dois protéger ma vie privée ».

Une illusion de pouvoir

C’est fou, non ? Un belle tentative de prise de contrôle sur ton cul,  bien camouflée sous une pseudo générosité.

Bon. Te contrôler, dans mon système de valeurs, ce n’est pas bien. Je veux que tu sois libre.

J’ai donc levé ce blocage – je supprime les blocages dès que je les trouve.

J’ai lâché le contrôle que j’essaie d’avoir sur toi. J’ai lâché prise. Je t’ai rendu ta liberté.

Tu l’as toujours gardée d’ailleurs. Ce n’était qu’une illusion.

Maintenant, je peux te dire que j’ai un blog.

Et tu sais ce qui s’est passé ?

Liberté et récompense

Maintenant, c’est moi qui suis libre.

Et j’ai reçu une des plus grosses récompenses de ma vie :

Mon corps m’envoie des tonnes de plaisir.

Tu liras ça dans mon prochain billet. Ça décoiffe. C’est vraiment dingue. Tu en resteras baba.

Ooooohhhh !

Pourquoi je te tutoie

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Crédit photo: Stocklib © Chris Harvey

Le secret bien gardé des femmes les plus sensuelles

12 octobre 2011

Un jour, dans le métro, un homme me regarde d’un air que je trouve un peu bizarre, et vient s’asseoir à côté de moi.

Il y a du monde. Nous sommes serrés. Sa cuisse touche la mienne. Un peu beaucoup quand même, je trouve. Je ne fais plus attention à lui.

Les gens autour de moi ont une attitude bizarre : ils nous regardent.

Et soudain, le gars se met à tressaillir. Là, je comprends tout de suite : il est en train de jouir dans son slip !

Je trouve ça très drôle ! Le gars se lève précipitamment et sort en 4e vitesse, tête baissée, pas fier. Il l’avait fait exprès.

Oui, tu peux jouir sans te toucher.

Jouir sans les mains.

Et hop ! un petit orgasme, ni vu ni connu

Un orgasme assise dans le métro ?

Ou en faisant la queue ? Pour les hommes, je ne sais pas comment il faut faire.  Mais pour les femmes c’est assez facile.

Ni vu, ni connu. Sois sûre qu’elles le font.

Voici quelques recettes.

Testé et approuvé.

Remarque très importante :

Fais ça uniquement dans un lieu sûr ! Tu risques de te faire aborder par des inconnus.

Presser le clitoris jusqu’à l’explosion

Avec ou sans petits mouvements : presser, alléger la pression, presser à nouveau etc.

C’est une recette de masturbation bien connue : presser le clitoris en s’asseyant dessus. Tu « t’assieds » sur un coin de table, un lavabo, la baignoire, mais face à la table. Assise à l’envers, quoi…

Très pratique quand tu as les mains chargées de courses par exemple 😆

Ou bien, tu presses quelque chose contre ton clitoris : un coussin ou un oreiller, mais aussi un gode, un canard vibrant ou même un pénis en érection.

C’est bien, mais il n’y a rien de plus discret ?

Car s’asseoir sur le coin de la table ou presser le coussin du canapé sur son sexe devant tout le monde, ça fait un peu bizarre…

Assise, n’importe où

La recette du jean est plus discrète

Julie est dans l’amphi. Cours très sérieux.

Sans savoir pourquoi, elle est très excitée. Les hormones sans doute.

Elle porte un jean. La couture du pantalon passe devant son clitoris. Elle se laisse glisser en avant de quelques cm. Parfois, elle tourne son bassin. Le pantalon reste collé au fauteuil.

La couture presse le clitoris. C’est délicieux : exactement ce qu’il lui faut.

Elle bascule un peu le bassin de gauche à droite. Ça caresse le clito.

Et boum : un orgasme. Ni vu ni connu.

Elle sourit, se redresse. Le cours continue.

C’est plus cool qu’en voiture quand tu conduis. Tu dois t’arrêter par prudence dans ce cas-là.

Dans la queue, à la caisse du supermarché

Julie a fini ses courses et fait la queue. Comme elle est excitée, elle serre les cuisses l’une contre l’autre.

Ça presse son clitoris. C’est délicieux.

Elle recommence, à plusieurs reprises, et boum ! un orgasme.

C’est son tour. Elle sourit à la caissière.

Un mot-clé : l’excitation

Il est évident qu’il faut un certain degré d’excitation pour avoir un orgasme ainsi.

Mais que de bonne humeur par après à la place de la tension !

Beaucoup de femmes font ça.

Tu peux le faire aussi. Ça ne se voit pas : ce n’est pas non plus le méga-orgasme où tu perds connaissance. C’est un petit orgasme en passant – ou un plus gros.

Il y a aussi les orgasmes « spontanés »

à cheval ou à vélo (pas fréquents, mais réels), quand le clitoris appuie contre la selle.

Pas facile de rester sur un cheval pendant l’orgasme !

Et les orgasmes qui te tombent dessus sans prévenir.

Et ceux que tu as quand il te touche l’épaule ou l’oreille…

À chacune les siens, nous sommes toutes différentes.

Et les hommes ?

Les hommes le font beaucoup plus rarement. J’imagine que ce n’est pas très gai d’avoir du sperme dans le slip !

Mais réfléchis : quand tu bandes, que tu presses ton pénis contre elle par exemple, ça ne te ferait pas jouir si tu ne te retenais pas ?

Sans les mains, soit. Mais sans rien toucher ?

Dans ces quelques recettes, tu ne te touches pas avec les mains, mais tu te touches avec un objet ou tes cuisses.

Il faut bouger, si peu que ce soit.

Sais-tu aussi comment le faire en restant parfaitement immobile ?

Je t’expliquerai ça dans un prochain billet.

Et toi ?

Nous sommes toutes différentes, et je ne connais pas tout, loin de là.

Connais-tu d’autres recettes pour jouir sans les mains ? Partage-les, je serai ravie de les lire et d’apprendre du nouveau. Mes lectrices et lecteurs aussi, merci pour eux !


Ooooohhhh !

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À la recherche de l’orgasme perdu

4 octobre 2011

 « J’ai vécu un orgasme exceptionnel. 

Comment le revivre ? » me demande Julie.

Impossible. Tu ne pourras plus jamais le revivre

Pas plus que tu ne pourras revivre ce fabuleux après-midi à la plage avec tes amis,

Ou ce bon repas dans ce petit resto. Ou les applaudissements quand tu as reçu ton prix…

Je peux tout de même essayer ?

Il faudra l'attendre encore longtemps, ce fabuleux orgasme ?

Ce n’est pas une bonne idée.

Quand tu essaies de revivre le passé, tu t’enfermes dans un carcan qui devient de plus en plus rigide.

Tu finis par être complètement emprisonnée par ton passé.

Alors, tu ne vis plus ton présent.

Et tu deviens obsédée par cet orgasme .

Tu ne vis même plus celui qui arrive. Avant même qu’il soit là, tu le juges « trop petit, trop ceci, pas assez cela… »

Il n’a plus aucune chance.

Vis ton présent à fond

Chaque orgasme est unique.

Ni mieux ni moins bien qu’un autre.

À tout moment, l’orgasme que tu vis maintenant est le meilleur que tu puisses avoir.

Il n’y en a pas d’autre, c’est le seul.

Comparer, c’est te forcer à atteindre un but, sans profiter du moment présent.

Mais c’est maintenant que tu vis, pas « la prochaine fois peut-être« 

Savoure l’instant présent, celui que tu vis maintenant.

« Et mon orgasme exceptionnel ? J’en fais quoi ? »

Un bon souvenir

Garde-le en mémoire, c’est un bon souvenir. Sors-le quand tu as besoin de booster ton moral.

.

Exercice 1 : Rappelle-toi ton plus bel orgasme.

Et accepte le fait que tu ne le revivras plus jamais. Alors tu t’ouvres à tous les ‘autres.

Exercice 2 : Évalue ton plaisir – là, maintenant, tout de suite – sur une échelle de 1 à 10.

C’est ça, l’instant présent. Es-tu prête à accueillir ton prochain orgasme ?

Ooooohhhh !

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Et si tu avais une longue nuit d’amour avant la fin de ce mois ?

17 août 2011

« Parfois, mon orgasme arrive trop vite, dit Julie. Je ne peux pas me retenir. Mon chéri voudrait encore continuer… et moi aussi. Je voudrais pouvoir l’épuiser, même. Faire l’amour toute la nuit.

Puis je retarder mon orgasme ? »

D’abord, félicitations, car beaucoup de femmes voudraient avoir un orgasme tout simplement. La technique que je te donne ici leur sera utile aussi.

Alors, quel est le secret pour retarder ton orgasme ?

Serre ton muscle d’amour

Le muscle de ton périnée s’appelle le « muscle pubo-coccygien » car il va du pubis au coccyx. On l’appelle aussi le muscle d’amour.

orgasme, retarder l'orgasme, faire l'amour toute la nuit

Faire l'amour toute la nuit ? Avec le muscle de l'amour.

Quand tu « serres » ton périnée, tu contractes ton muscle d’amour.

Tu peux regarder ta contraction dans un miroir.

C’est ce muscle qu’il faut serrer. Bien fort.

Pas besoin de jouer avec le clitoris ou le vagin, de se contorsionner, rien de tout ça.

Quand faut-il le serrer ?

Avant les contractions

Serre-les juste avant que les contractions de l’orgasme commencent.

Nous avons le même point de non-retour que les hommes. Juste après, c’est trop tard, et l’orgasme se poursuit inévitablement.

En fait, l’orgasme commence avant les contractions. C’est à ce moment-là qu’il faut serrer bien fort.

Ce n’est pas facile de bien l’identifier, donc, au début, ton orgasme t’échappera plus d’une fois. C’est vraiment une question d’entraînement : le faire encore et encore.

Ça coupe le plaisir alors ?

Le plaisir reste intense

Ça coupe l’orgasme, mais pas le plaisir. Tu auras un orgasme qui commence, mais qui ne se termine pas. Tu le coupes au moment où il va redescendre.

Tu peux continuer comme avant.

Ton plaisir reste intense.

Il peut redescendre un peu, mais il revient très vite au sommet.

Et ainsi, tu restes au sommet. Tu peux faire l’amour toute la nuit si tu veux.

Exercices

Savoir ce qu’il faut faire, c’est bien. Mais ça n’aura aucun effet tant que tu ne le feras pas !

Exercice 1 : Trouve ton muscle d’amour et contracte-le bien fort. Plus il est musclé, mieux ça marche.

Exercice 2 : Contracte ton muscle d’amour avant l’orgasme, juste avant le point de non-retour. Tu peux le faire en te caressant ou pendant l’amour. Cherche ce point de non-retour, et serre de plus en plus tard.

C’est l’entraînement qui fera la différence.

Ooooohhhh !

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Image © Andres Rodriguez

Vagin insensible : Le meilleur moyen pour avoir facilement de très gros orgasmes (partie 2)

2 août 2011


Julie a un problème : son vagin est à peu près insensible. Elle n’a jamais eu d’orgasme vaginal, parce qu’elle ne sent pas grand-chose. Elle en est fort triste, mais que peut-elle faire ?

Dans la 1e partie, nous avons vu que c’est important d’accepter les sensations de ton vagin et les caresses pour le réveiller. Pour qu’il devienne sensible.Voici donc comment devenir une femme sensuelle, au vagin bien éveillé.

Observe tes sensations

L’important, c’est d’écouter ton vagin. Pas avec tes oreilles, bien sûr. Tu écoutes avec tes tripes :

place ton attention dans ton vagin

observe tes sensations

Si ça fait mal ou que c’est désagréable, tu passes ailleurs, c’est tout.

varie les caresses

Le côté agréable viendra, c’est sûr. Et plus vite que tu ne le penses !

Décris ce que tu sens

Par exemple :

je sens que quelque chose est là, que ça frotte

c’est bizarre, je n’ai jamais senti ça avant

hé, j’aime bien ça

Est-ce que certaines sensations sont meilleures que d’autres ? Certaines sont-elles bonnes et d’autres pas ?

Toutes tes sensations sont « bonnes »

Ne juge pas: contente-toi de ressentir. Ce n’est pas bien ou mal de ressentir ton vagin, ni mieux ou moins bien que la fois passée. Et  tu n’es pas ceci ou cela de ressentir ça.

C’est là, et tu le sens. C’est tout.

Tu peux avoir une surprise :

la sensation peut être très forte

ou bien, inconnue, et tu ne sais pas encore si c’est agréable ou non

elle peut te faire peur, te faire pleurer. Te donner toutes sortes d’émotions

ou bien tu voudrais que ça ne s’arrête pas

Tu ressens et tu observes tes sensations. Tu peux jouer un peu bien sûr si c’est agréable.

Mais  passe à un autre endroit : il y en a beaucoup à explorer, le vagin est truffé de zones érogènes.

Et c’est tout ?

Tu apprécies chaque sensation agréable

Tu te réjouis de chaque sensation agréable que tu ressens. Laisse-toi aller à ta joie. Souligne que c’est agréable.

tu peux dire: « J’aime ça, c’est agréable »

 

Si ton amant est là, dis-lui. Sinon il ne peut pas savoir que c’est agréable. Un murmure ou un gémissement suffit.

Pourquoi est-ce important de reconnaître chaque sensation agréable ?

La machine est en route

De jour en jour, les sensations agréables deviennent plus nombreuses et plus fortes. Plus faciles à retrouver.

En réalité, tu envoies un message à ton corps, à ton cœur, à ton cerveau, à ton subconscient, à ton inconscient. A ton vagin.

Tu leur dis ceci :

« Voilà, je ressens des sensations agréables et j’aime ça. J’en veux de plus en plus, alors débrouillez-vous pour qu’elles arrivent jusqu’à moi. ».

Et comme ils sont tous à ton service, ils font ça pour toi : ils travaillent pendant que tu es occupée à autre chose.

Chaque fois que tu refais cet exercice, tu le leur rappelles.

Dans combien de temps ton vagin sera éveillé ?

Chacune à son rythme

Tout de suite ou progressivement, toutes les femmes y arrivent.

Ce n’est pas une compétition : tu sentiras ce que tu es prête à ressentir, rien d’autre.

Alors, prends ça plutôt comme un chemin de vie.

A partir de maintenant, ton vagin devient de plus en plus sensible.

En route vers l’Orgasme avec un grand « O ».

Bon voyage !

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Vagin insensible : Le meilleur moyen pour avoir facilement de très gros orgasmes (partie 1)

19 juillet 2011


Sais-tu que le vagin de chaque femme est très sensible ? Le tien aussi ! Voici comment le rendre bien sensible. Regarde Julie : elle est comme beaucoup de femmes.

Julie est très amoureuse. Elle aime faire l’amour. Mais elle a un problème : son vagin est à peu près insensible. Malgré tous ses efforts – et ceux de son amant – elle a beaucoup de mal à avoir un orgasme par la pénétration, parce qu’elle ne sent pas grand-chose. Elle en est fort triste, mais que peut-elle faire ?

La solution est simple : il lui suffit de resensibiliser son vagin. En le stimulant et en accueillant les bonnes sensations qu’il envoie.

C’est réservé au vagin complètement insensible ?

Pour toutes

Cette méthode permet d’augmenter la sensibilité de ton vagin, même s’il est déjà sensible. À tout âge. Elle te permet de progresser dans ta vie amoureuse. Tu peux en faire une bonne habitude tout simplement. Pour faciliter tes orgasmes. Et les rendre plus forts.

Et si ton vagin est insensible, ça le rendra sensible une fois pour toutes.

Comment on fait ?

Ouvre-toi aux sensations

Ton état d’esprit est le plus important. Il faut que tu affirmes clairement ton intention d’accueillir les sensations de ton vagin. Toutes les sensations.

L’insensibilité, c’est désormais du passé. Aujourd’hui, tu deviens sensible. Et tu « écoutes » ton vagin. Comment ?

Tu stimules ton vagin

Tu le stimules comme tu veux. Seule ou avec ton amant. Douce caresse avec les doigts, masturbation classique avec ou sans gode ou vibromasseur, doigtage avec tes doigts ou ceux de ton amant, pénétration du pénis, ou de la langue lors du cunnilingus. A la vulve, et plus profondément. Sur tes zones érogènes si tu les as trouvées, ou ailleurs. En caressant le clitoris aussi si tu veux.

Explore ton vagin. Les parois. Trouve les rides. Va partout. Dans sa partie côté ventre, et la partie côté dos. Ton point G. Le 1/3 inférieur, qui est plus sensible dit-on. Et plus en profondeur. Plus loin que tes doigts même. C’est pour ça qu’un masturbateur (vibro, gode ou autre stimulateur) te sera utile. Puis, c’est moins fatigant : les doigts ne durent pas très longtemps quand on stimule fort. Pourquoi pas un spécial point G au bout recourbé qui te permet de titiller plus facilement les parois ?

Caresse-le avec bienveillance

Fais des caresses légères, des caresses plus appuyées. Des pressions, de petits va-et-vient, des ronds. Tout ce que tu imagines.

Ou bien rien de spécial, juste une caresse en passant. Peu importe. L’essentiel, c’est que tu sois à l’aise pour le faire. Sinon, fais-le un autre jour.

***

Après, tu accueilles chaque sensation sans juger, et tu savoures les bonnes.

Nous le verrons en détail dans la suite de cet article.

À bientôt,

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15 juin 2011

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Vous y trouverez aussi mon Kamasutra

Bonne lecture,

 

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