Posts Tagged ‘développement personnel’

Comment j’ai arrêté de contrôler ton cul

14 octobre 2011

Bien sûr, on ne contrôle le cul de personne : chacun est libre de faire ce qu’il veut avec son cul. Tu penses ça aussi, non ?

Alors, où est le problème ?

Le problème ? J’essaie vraiment de mettre le grappin sur ton  cul. Pour du vrai. Tout en disant que « Non, je ne fais pas ça ».

Il y a quelque chose qui cloche, non ?

Contrôler ton cul ? Une grosse illusion !

Te le dire ?

Quand j’ai démarré ce blog, la question était : le montrer à mes amis ? Te le dire en face ?

C’est bien de te le dire, parce que ce sera amusant. Quand tu le lis, tu peux  en parler, donner ton avis, des idées. Bref, c’est gai.

En même temps, je trouve 1001 raisons de ne pas te le dire : mes proches  vont en souffrir, tu vas me prendre pour une obsédée du clitoris…

Et alors ? C’est normal, ça, non ? Il est où, le problème ?

Interdit d’essayer

Le problème c’est que tout ça, ce sont de fausses excuses.

La vraie raison, c’est que… je refuse avec force que tu fasses tout ce que j’explique ! Avec une force stupéfiante. J’en deviens enragée.

Je ne veux pas que tu lises mon blog, parce que je ne veux pas que tu utilises  mes recettes. Que tu les connaisses. Que tu en profites avec d’autres…

Comme si tu en avais besoin !

Alors, je garde cette info pour moi.

N’importe qui a le droit d’essayer les trucs que je donne. En théorie.

Mais pas toi !

Paradoxal, non ?

Contrôler ton cul

En réalité, loin de protéger quelqu’un: c’est un contrôle de ce que tu fais avec ton cul. Une tentative du moins.

En refusant de te donner mes informations.

J’ai des trucs ? Je les garde pour moi, et tant mieux si tu ne les connais pas : je ne te les donnerai pas.

Comme ça, c’est moi qui décide si tu peux faire ces trucs-là ou pas.

Et je camoufle ça en « Je dois protéger ma vie privée ».

Une illusion de pouvoir

C’est fou, non ? Un belle tentative de prise de contrôle sur ton cul,  bien camouflée sous une pseudo générosité.

Bon. Te contrôler, dans mon système de valeurs, ce n’est pas bien. Je veux que tu sois libre.

J’ai donc levé ce blocage – je supprime les blocages dès que je les trouve.

J’ai lâché le contrôle que j’essaie d’avoir sur toi. J’ai lâché prise. Je t’ai rendu ta liberté.

Tu l’as toujours gardée d’ailleurs. Ce n’était qu’une illusion.

Maintenant, je peux te dire que j’ai un blog.

Et tu sais ce qui s’est passé ?

Liberté et récompense

Maintenant, c’est moi qui suis libre.

Et j’ai reçu une des plus grosses récompenses de ma vie :

Mon corps m’envoie des tonnes de plaisir.

Tu liras ça dans mon prochain billet. Ça décoiffe. C’est vraiment dingue. Tu en resteras baba.

Ooooohhhh !

Pourquoi je te tutoie

Copyright Ooooohhhh ! 2011

Clique ici pour t’abonner à la newsltter et reçois le kamasutra en cadeau – gratuit

Crédit photo: Stocklib © Chris Harvey

Cinq bonnes raisons de cultiver ton orgasme !

10 juin 2010

Te faire grimper aux rideaux, te faire hurler de plaisir …
Pour y arriver, il faut qu’il y mette du sien. Il s’occupe de toi, il soigne les préliminaires et te conduit au plus haut degré d’excitation, il te fait sentir combien tu es désirable, te montre combien il te désire …
Mais pourquoi prendre toute cette peine … puisqu’il arrive à avoir le sien facilement ?

Ton couple

Vous savez tous deux que le sexe est important dans le couple.
Mais avez-vous réalisé à quel point ?
Un couple peut-il durer quand la femme n’a que peu d’orgasmes ?

Voici donc les cinq bonnes raisons de cultiver ton orgasme :

1. Tu deviens accro au sexe

Faire l’amour quand on arrive de temps en temps à l’orgasme …  bof… ça devient lassant. L’attrait des débuts s’estompe, la routine s’installe …
Rien de tout cela quand tu arrives très souvent à l’orgasme : le sexe devient le plaisir qu’il doit être. L’orgasme étant ce qu’il est, tu souhaites le revivre aussi souvent que possible.
Tu deviens accro au sexe et tu en redemandes !

2. Tu le lui rends au centuple

Arrivée un tel niveau d’excitation et pleinement satisfaite, tu débordes d’affection et de reconnaissance.
Il ne doit même plus te prier : tu deviens cette déesse érotique dont il a toujours rêvé …

3. Il devient un dieu du sexe

Un homme capable d’une telle performance est renforcé dans sa virilité.
Il se sent très sûr de lui, et les autres remarquent cette force intérieure.
Venue d’on ne sait où, la rumeur se répand. Hommes et femmes le considèrent d’un autre œil.

4. Tu l’as, tu le gardes

Un homme pareil, on le garde pour toujours !
La stabilité du couple est assurée.
Pourquoi irais-tu chercher ailleurs ce que tu as chez toi en abondance ?

5. Tu es heureuse

Ton corps et ton cerveau produisent en abondance les hormones liées à l’attachement et au bien-être.
Chaque rencontre renforce les liens qui vous unissent.
Tu baignes dans le bonheur. Tu rayonnes.
Tu partages ce bonheur avec ceux que tu aimes et …

… tu adores ton dieu du sexe.

Ooooohhhh !

(more…)

Tu relâches ton anus

18 avril 2010

Relâcher ton anus ?

Quelle drôle d’idée !
Et pourtant …
On dit des gens tendus et désagréables qu’ils ont « un balai dans le cul ». On a envie de le leur enlever, non ? Qu’ils se relâchent un peu…

Ton anus est connecté à ton cerveau

Quand il est serré, ton cerveau sait que tu es tendue : quelque chose ne tourne pas rond.
Et quand tu le relâches volontairement … ton cerveau pense que tout va bien ! Il envoie alors ce signal au reste de ton corps.

Fais le test

Serre ton anus et garde le serré.
Essaie maintenant de relâcher le reste de ton corps : ton ventre, tes jambes, ton cou, ton visage …
Difficile, non ?
Relâche maintenant ton anus.
Et relaxe ton corps.
C’est beaucoup plus facile !

Message au cerveau

Ton cerveau croit dur comme fer aux messages que ton corps (et même ton imagination) lui envoie.
Quand tu es tendue, ton corps lui envoie des signaux de tension. Il les répercute et tout ton corps se met sous tension, pour parer à un danger réel ou supposé.
Quand tu relâches ton anus, tu envoies à ton cerveau un signal de relaxation : «  Je suis détendue. ». Ton cerveau comprend que tout va bien et il envoie ce message à ton corps.

Message au corps

Ton anus est relié directement à ton cerveau par tes nerfs, mais aussi en passant par des relais nerveux. Ces relais sont en contact avec le reste du corps. Tous les organes du périnée et du petit bassin, les jambes, le ventre sont en fait reliés à l’anus. Ils le modulent et sont modulés par lui, sans passer par le cerveau.
Par la suite, ces organes transmettent à leur tour leur message de relaxation au cerveau.
En pratique, il semble que la décontraction de l’anus soit nécessaire pour relaxer tout le corps : jambes, périnée y compris le sexe, abdomen, colonne vertébrale, nuque, tête et visage.
Seuls les bras et épaules semblent insensibles à l’action de l’anus.
Fais des tests, et tu t’en rendras compte par toi-même.

Ton sexe

Quand tu serres les muscles de ton anus, en général tu serres tout ton plancher pelvien : anus, périnée, vulve…
Donc pas seulement ton anus, mais tout ton sexe.
Ton clitoris se fait tout petit et rentre dans sa coquille (au figuré bien sûr).
Il ne peut plus s’exprimer.

Pendant l’amour aussi,

tu peux relâcher ton anus. Tu relâches en même temps tout ton corps, sans même y réfléchir.
Les sensations que tu ressens sont libres de se répandre dans tout ton corps, au lieu d’être réprimées, serrées, encerclées.
Tes sensations et tes orgasmes sont plus intenses.
Cela demande peut-être un peu d’entraînement. Tu peux demander à ton chéri de te le rappeler : « Relâche ton anus ! ». Lui aussi peut le faire ; lui aussi aura des orgasmes plus forts.

Tu libères ton clitoris

En relâchant ton anus, tu libères ton clitoris.
Ton clitoris peut alors t’envoyer ses signaux de bonheur.
Tu peux mieux l’entendre et l’écouter.
N’oublie pas qu’il est ton meilleur ami ; lis ici  « La merveilleuse histoire de ton clitoris » !

Ooooohhhh !

Pourquoi je te tutoie

Copyright Ooooohhhh ! 2010

Clique ici pour t’abonner à la newsltter et reçois le kamasutra en cadeau – gratuit


Relâcher son anus ?
Quelle drôle d’idée !
Et pourtant …
On dit des gens tendus et désagréables qu’ils ont « un balai dans le cul ». On a envie de le leur enlever, non ? Qu’ils se relâchent un peu…Ton anus est connecté à ton cerveau.
Quand il est serré, ton cerveau sait que tu es tendue : quelque chose ne tourne pas rond.
Et quand tu le relâches volontairement … ton cerveau pense que tout va bien ! Il envoie alors ce signal au reste de ton corps.

Fais le test
Serre ton anus et garde le serré.
Essaie maintenant de relâcher le reste de ton corps : ton ventre, tes jambes, ton cou, ton visage …
Difficile, non ?
Relâche maintenant ton anus.
Et relaxe ton corps.
C’est beaucoup plus facile !

Message au cerveau
Ton cerveau croit dur comme fer aux messages que ton corps (et même ton imagination) lui envoie.
Quand tu es tendue, ton corps lui envoie des signaux de tension. Il les répercute et tout ton corps se met sous tension, pour parer à un danger réel ou supposé.
Quand tu relâche ton anus, tu envoies à ton cerveau un signal de relaxation : «  Je suis détendue. ». Ton cerveau comprend que tout va bien et il envoie ce message à ton corps.

Message au corps
Ton anus est relié directement à ton cerveau par tes nerfs, mais aussi en passant par des relais nerveux. Ces relais sont en contact avec le reste du corps. Tous les organes du périnée et du petit bassin, les jambes, l’abdomen sont en fait reliés à l’anus. Ils le modulent et sont modulés par lui, sans passer par le cerveau.
Par la suite, ces organes transmettent à leur tour leur message de relaxation au cerveau.
En pratique, il semble que la décontraction de l’anus soit nécessaire pour relaxer tout le corps : jambes, périnée y compris le sexe, abdomen, colonne vertébrale, nuque, tête et visage.
Seuls les bras et épaules semblent insensibles à l’action de l’anus.
Fais des tests, et tu t’en rendras compte par toi-même.

Ton sexe
Quand tu serres les muscles de ton anus, en général tu serres tout ton plancher pelvien : anus, périnée, vulve…
Donc pas seulement ton anus, mais tout ton sexe.
Ton clitoris se fait tout petit et rentre dans sa coquille (au figuré bien sûr).
Il ne peut plus s’exprimer.

Pendant l’amour aussi,
tu peux relâcher ton anus. Tu relâches en même temps tout ton corps, sans même y réfléchir.
Les sensations que tu ressens sont libres de se répandre dans tout ton corps, au lieu d’être réprimées, serrées, encerclées.
Tes sensations et tes orgasmes sont plus intenses.
Cela demande peut-être un peu d’entraînement. Tu peux demander à ton chéri de te le rappeler : « Relâche ton anus ! ». Lui aussi peut le faire ; lui aussi aura des orgasmes plus forts.

Tu libères ton clitoris.
En relâchant ton anus, tu libères ton clitoris.
Ton clitoris peut alors t’envoyer ses signaux de bonheur.
Tu peux mieux l’entendre et l’écouter.
N’oublie pas qu’il est ton meilleur ami ; lis ici  « La merveilleuse histoire de ton clitoris »  !

La merveilleuse histoire de ton clitoris

9 avril 2010

Ton clitoris à toi

Ton clitoris est né bien avant toi, et il te restera toujours fidèle.
Discret , il t’accompagne partout et toujours.
Voici la merveilleuse histoire de ton clitoris, ton allié, ton meilleur ami.
Toujours présent.

Dans le ventre de ta mère

Ton clitoris est né quand tu étais encore dans le ventre de ta mère. Jusqu’à ta huitième semaine, il est un bourgeon indifférencié.
Puis il devient ton clitoris, alors que ce même bourgeon se développe en pénis chez le garçon. A ta douzième semaine, il est bien reconnaissable.
Dès que tes petits bras sont assez longs, tu le touches très souvent.

Quand tu étais bébé

Bébé, tu continues allègrement à toucher ton clitoris.
Parce que tu te sens bien ainsi.
Bien sûr, ton geste n’est pas très précis, mais tous les parents l’observent.
Puis tu grandis, et tu continues à le toucher.
Tes parents te font comprendre que cela ne se fait pas.

Peut-être as-tu eu une sorte de crise d’épilepsie, avec des spasmes, un évanouissement et tout ? Tes parents étaient très inquiets, mais les médecins sont formels : tu as eu un bel orgasme!

Petite fille

Petite fille, tu as appris qu’on ne touche pas son clitoris en public.
Mais tu t’endors en posant ta main dessus.
Et tu (re)découvres l’orgasme en descendant la rampe d’escalier, ou en t’asseyant sur le fauteuil.
Jusqu’ici, cela n’est pas sexuel.
Tu te sens bien ainsi.

Adolescente

Adolescente, tu sais qu’il est toujours présent.
Tu ne peux t’empêcher d’explorer cet organe si sensible peut-être que tu ne peux même pas le toucher directement.
Tu pars à la découverte de sensations nouvelles et intenses.
Maintenant, tu deviens sensuelle, et tu recherches les orgasmes.
Puis tu permets à quelqu’un autre de le toucher.
Et tu aimes cela.

Ta vie de Femme

Toute ta vie de femme, ton clitoris t’accompagne.
Il accompagne ton bonheur sexuel ; ton bonheur tout court.
Parfois il se gonfle tout seul.
Il t’envoie des ondes de bonheur.
Et tu te sens bien.

A l’automne de ta vie

Ton clitoris n’a pas besoin d’hormones, alors il est toujours présent.
Il n’est jamais malade.
Il  te procure des plaisirs intenses, comme il a toujours fait.
Et tu te sens bien ainsi.

Partout et toujours,

ton clitoris reste ton fidèle compagnon.
Fais-lui confiance.
Écoute-le.
Il est tout à toi.
C’est toujours ton plus fidèle allié.

Ooooohhhh !

Pourquoi je te tutoie

Copyright Ooooohhhh ! 2010

Clique ici pour t’abonner à la newsltter et reçois le kamasutra en cadeau – gratuit

Pourquoi je te tutoie ?

1 avril 2010

Ooooohhhh ! parle de ton amour,

de ton corps, de tes émotions… de choses très intimes.

L’amour et ses effets sur toi. Sur ton corps. Comment il t’aide à être toi-même, à te dépasser. A être bien. A être Femme.

Ta séduction. Parce que, étant femme, tu est séduisante, même si tu n’en es pas très consciente. Même si tu ne le fais pas exprès.

Ta sensualité. Parce que, étant femme, tu es sensuelle. Ton corps entier est dédié à la sensualité. Jusqu’à ton esprit.

Je ne veux en aucun cas être impolie avec toi.

Je ne m’adresse qu’à toi. Nous ne sommes que nous deux.

Si je te vouvoie, je me place trop loin de toi pour que tu puisses m’effacer. C’est comme si je t’observais du haut de mon « savoir ».

Alors qu’en fait, tu en sais peut-être plus que moi !

Je te parle comme personne ne t’a peut-être jamais parlé, et comme on ne te parlera pas souvent, puisqu’on parle de ton intimité.

Quand je te tutoie, je reste proche de toi. Je partage quelque chose avec toi.

Toujours avec beaucoup de respect pour toi.


Ooooohhhh !

Pourquoi je te tutoie

Copyright Ooooohhhh ! 2010



Qui est Ooooohhhh ! ???

30 mars 2010

Bonjour !

Je m’appelle Christine.

Je suis née en 1962, en Europe, près de Bruxelles.

J’ai une vie classique, somme toute bien agréable.

Et j’ai Internet, cette extraordinaire caisse de résonance.

Comme le dit ma mère : « Celui qui n’a pas Internet aujourd’hui est un analphabète ».

Sur Internet, j’ai trouvé

des sites qui m’intéressent directement.

Des sites qui parlent de moi !

De mon anatomie, de mon corps, de mon fonctionnement …

De choses que je savais et des choses que j’ignorais.

Quand j’ai appris par exemple que la plupart des femmes pouvaient être multi-orgasmiques, j’ai fait TILT !

Je l’ignorais !

Je savais que certaines d’entre nous l’étaient, mais je ne savais pas que moi aussi, je pouvais le devenir !

Comme nous toutes !

Et là, on explique comment y arriver !

Alors que je vis dans un monde sans la moindre tradition féminine du plaisir … ma mère ne m’ayant jamais rien appris sur le sujet (à part qu’il fallait rester loin des garçons).

J’ai donc décidé

que moi aussi, je deviendrais multi-orgasmique.

Poursuivant ma quête, j’ai appris bien plus encore.

Et je mets tout cela en pratique bien sûr, sinon à quoi bon ?

Je suis donc une femme ordinaire qui a décidé d’ajouter à sa vie le bien-être qui s’offre à elle.

Suffit de le cueillir.

Et ça s’apprend.

De fil en aiguille, me voici devenue une…

… spécialiste en histoires de cul !

Orgasme, clitoris, phallus, masturbation …

Ça m’intéresse …

J’ai vraiment l’impression d’avancer dans la bonne direction : celle où je suis mieux, plus en accord avec moi-même, avec les autres et avec le monde.

J’ai trouvé quelque chose qui est capital pour moi, et pour toutes les femmes.

Et séductrice

Cette amélioration de moi-même s’exprime par un moi plus en accord avec lui-même.

Harmonie entre moi, mon esprit, mon corps, les autres et le monde.

Tout ça avec des histoires de cul ! Incroyable, non ?

Je suis devenue beaucoup plus séduisante.

Je rayonne.

Et ça se sent : les autres et le monde deviennent d’autant plus adorables avec moi que je leur envoie des « ondes » de bien-être.

Ça me permet de continuer dans la bonne direction :

Avec plus d’amour pour tous.

L’OMS a décrété qu’une bonne sexualité était nécessaire à une bonne santé, et je sais que la satisfaction des sens est importante pour mon bonheur.

« La grande affaire et la seule qu’on doive avoir, c’est de vivre heureux. »

Voltaire

Hommes, Femmes, je veux vous transmettre tout ce que j’apprends de bon.

Ooooohhhh !

Pourquoi je te tutoie

Copyright Ooooohhhh ! 2010


Comment lui dire qu’il te plaît ?

10 mars 2010

Le lui dire ?

Il a brillamment passé tes épreuves de sélection, et c’est parti :

Il te plaît et tu souhaites le revoir…

Comment le lui dire ?

Plus il te plaît et plus c’est dur…
Voici une technique qui te permet de le lui faire comprendre, mais sans te dévoiler.

Le triple A

Cette formule est adaptée de la formule du «Triple A» que Les Giblin donne dans son ouvrage « How to have confidence and power in dealing with people« , Prentice Hall, 1956.

Les trois A sont :

  • Acceptation
  • Approbation
  • Appréciation

1. Acceptation

Tu l’acceptes tel qu’il est, avec ses qualités et ses défauts.

Il s’agit d’une acceptation mentale.

N’oublie pas tes critères de sélection. Tu n’acceptes pas le premier venu !

Mais quand tu t’es décidée, tu le prends comme il est.

Donc, tu ne lui demandes pas de changer ceci ou cela.

Tu lui connais peut-être des défauts, mais tant pis.

Il n’est peut-être pas ton idéal, mais il te plaît.

Tu l’acceptes.

2. Approbation

Tu cherches ce qui est bien chez lui, même une petite chose.

Tu cherches aussi ce qu’il fait de bien.

Puis tu lui dis ce tu as vu, et que tu apprécies cela.

Tu approuves ce qu’il est et ce qu’il fait.

3. Appréciation

Tu apprécies, alors tu lui donnes de la valeur.

Tu lui montres qu’il est important à tes yeux, et tu le traites comme un VIP.

Tu le remercies. Tu lui arranges une belle place. Tu lui demandes son avis. Tu l’écoutes quand il parle.

Bref, tu montres qu’il compte pour toi.

Tu l’apprécies.

Tu n’en fais pas trop !

Tu ne t’aplatis pas devant lui.

Tu n’es pas tout le temps de son avis.

Tu restes toi-même et tu ne triches pas.

Tu n’agis pas pour lui faire plaisir ; tu te fais plaisir à toi.

Un exemple

Vous avez fait connaissance.

Il n’est pas parfait, mais tu voudrais quand même le revoir… Tu l’acceptes. Acceptation. Tu lui souris. Il sent que tu l’invites à rester près de toi.

Il a un imper bleu. Tu lui dis que tu aimes les impers bleus, qu’ils ont du style. Approbation (tu aimes vraiment les impers bleus!). Il t’offre un bonbon. Tu lui dis que c’est une bonne idée. Approbation. Il sait que tu l’approuves : tu le lui as dit.

Ton amie arrive. Tu fais les présentations : « Je t’ai parlé de lui ». Appréciation. Il se fait bousculer car il est dans le passage. Tu recules pour lui faire de la place. Appréciation. Il sait que tu l’apprécies : tu le montres par ton attitude.

Acceptation, approbation et appréciation.

Cette technique est simple et efficace comme le montre l’exemple.

Si tu ne lui dis rien de positif sur lui, et que ton attitude ne montre pas qu’il compte pour toi,  comment saura-t-il que tu aimerais le revoir ?

Il est important de dire à quelqu’un que tu voudrais revoir que tu aimes ce qu’il fait. Et de lui montrer par ton attitude qu’il est important pour toi.

Va et fais-le. Tu me raconteras…

Ooooohhhh !

Pourquoi je te tutoie

Copyright Ooooohhhh ! 2010

Photo: FreeDigitalPhotos.net

la formule du «Triple A», donnée par Les
  Giblin, dans son ouvrage "How to have confidence and power
  in dealing with people", Prentice Hall, 1956.

Tu es une femme sensuelle

3 mars 2010

http://www.freedigitalphotos.net/images/view_photog.php?photogid=404

Qu’est-ce que ta sensualité ?

Es-tu sensuelle ?

Selon Wikipedia,  « La sensualité est l’attachement aux plaisirs des sens. »

Tout ce qui est sensuel n’est pas lié au sexe

manger du chocolat, apprécier la chaleur quand il fait froid etc est très sensuel.

Tu fais donc très souvent des choses sensuelles.

Apprécier tes sens est sensuel

  • tes yeux voient ton corps, les autres et le monde
  • tes oreilles entendent les paroles, la musique et les bruits
  • ta langue goûte tes repas et tes boissons
  • ton nez hume les parfums et les odeurs
  • ta peau sent le contact de ton corps

Tu aimes tout cela : tu es donc une femme sensuelle.

Ton rapport au monde est sensuel

Tes sens te mettent en contact avec ton corps, avec les autres et avec le monde.

Tu aimes ce contact avec ce qui t’entoure.

Tu aimes tes sens pour cela.

Tu es une femme sensuelle.

Le plaisir du sexe est très sensuel

Comme quand tu manges, tous tes sens sont intensément sollicités : tu vois, tu entends, tu goûtes, tu touches tout en respirant des parfums.

Et tu apprécies tout cela.

En sexe aussi, tu es une femme sensuelle.

C’est bien d’être sensuelle

Etre sensuelle, cela signifie que tu apprécies le contact avec toi-même, avec les autres et avec le monde.

Cela signifie que tu apprécies ton corps qui te permet tout cela.

Que tu interagis avec les autres.

Que tu t’ouvres au monde.

Ooooohhhh !

Pourquoi je te tutoie

Copyright Ooooohhhh ! 2010


Photo Simon Howden

Naissance de Oooohhhh !

1 mars 2010

Aujourd’hui, Ooooohhhh! voit le jour.

De nombreuses recherches sur Internet m’ont permis de découvrir des choses sur moi-même que j’ignorais totalement !

Mon corps, mon esprit, mes relations avec les autres …

Les femmes connaissent trop peu leur corps.

Les femmes s’interdisent trop souvent de prendre du plaisir.

Les femmes cachent tellement leur sensualité qu’elles ne se rappellent plus qu’elles en ont une.

La société les formatte ainsi.

Aussi, j’ai décidé de partir à la reconquête de moi-même, et de partager mes découvertes.

Bienvenue à toutes celles et à tous ceux qui m’accompagnent sur ce chemin !

Ooooohhhh !

PS : Ooooohhh! est multiple :

  • émerveillement quand je vois un bébé
  • exclamation de bonheur quand je reçois du chocolat
  • expression d’horreur quand je me pèse après les fêtes
  • coup de gueule quand je comprends qu’il l’a quand même fait!
  • etc …

Typiquement féminin.

Ah ? Vous pensiez à autre chose ?