Bien sûr, on ne contrôle le cul de personne : chacun est libre de faire ce qu’il veut avec son cul. Tu penses ça aussi, non ?
Alors, où est le problème ?
Le problème ? J’essaie vraiment de mettre le grappin sur ton cul. Pour du vrai. Tout en disant que « Non, je ne fais pas ça ».
Il y a quelque chose qui cloche, non ?
Te le dire ?
Quand j’ai démarré ce blog, la question était : le montrer à mes amis ? Te le dire en face ?
C’est bien de te le dire, parce que ce sera amusant. Quand tu le lis, tu peux en parler, donner ton avis, des idées. Bref, c’est gai.
En même temps, je trouve 1001 raisons de ne pas te le dire : mes proches vont en souffrir, tu vas me prendre pour une obsédée du clitoris…
Et alors ? C’est normal, ça, non ? Il est où, le problème ?
Interdit d’essayer
Le problème c’est que tout ça, ce sont de fausses excuses.
La vraie raison, c’est que… je refuse avec force que tu fasses tout ce que j’explique ! Avec une force stupéfiante. J’en deviens enragée.
Je ne veux pas que tu lises mon blog, parce que je ne veux pas que tu utilises mes recettes. Que tu les connaisses. Que tu en profites avec d’autres…
Comme si tu en avais besoin !
Alors, je garde cette info pour moi.
N’importe qui a le droit d’essayer les trucs que je donne. En théorie.
Mais pas toi !
Paradoxal, non ?
Contrôler ton cul
En réalité, loin de protéger quelqu’un: c’est un contrôle de ce que tu fais avec ton cul. Une tentative du moins.
En refusant de te donner mes informations.
J’ai des trucs ? Je les garde pour moi, et tant mieux si tu ne les connais pas : je ne te les donnerai pas.
Comme ça, c’est moi qui décide si tu peux faire ces trucs-là ou pas.
Et je camoufle ça en « Je dois protéger ma vie privée ».
Une illusion de pouvoir
C’est fou, non ? Un belle tentative de prise de contrôle sur ton cul, bien camouflée sous une pseudo générosité.
Bon. Te contrôler, dans mon système de valeurs, ce n’est pas bien. Je veux que tu sois libre.
J’ai donc levé ce blocage – je supprime les blocages dès que je les trouve.
J’ai lâché le contrôle que j’essaie d’avoir sur toi. J’ai lâché prise. Je t’ai rendu ta liberté.
Tu l’as toujours gardée d’ailleurs. Ce n’était qu’une illusion.
Maintenant, je peux te dire que j’ai un blog.
Et tu sais ce qui s’est passé ?
Liberté et récompense
Maintenant, c’est moi qui suis libre.
Et j’ai reçu une des plus grosses récompenses de ma vie :
Mon corps m’envoie des tonnes de plaisir.
Tu liras ça dans mon prochain billet. Ça décoiffe. C’est vraiment dingue. Tu en resteras baba.
Ooooohhhh !
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Crédit photo: Stocklib © Chris Harvey