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Combien de fois as-tu espéré les fabuleux orgasmes du point G sans jamais y parvenir ?

4 novembre 2011

 Le point G, certains disent qu’il n’existe pas

et d’autres l’ont trouvé

Et parfois, il est fabuleux. Pour celles-là, aucun doute, le point G existe bel et bien. Il est le bouton magique qu’on décrit.

Les joies du fabuleux orgasme du point G : pour toi aussi

Mais pour les autres ? Celles et ceux qui cherchent encore ?

Et celles  qui l’ont trouvé, mais chez qui il est tout discret, voire insensible, pas du tout comme tu le voudrais ?

La plupart du temps on te répond : « Chaque femme est différente, pour certaines, le point G, c’est pas leur truc ». Avec ça, il te reste juste à laisser tomber les bras…

Alors, le point G, c’est pas pour toi ? Et puis quoi encore ?

Ton corps, il est comme tous les autres, non ?

Voici une réponse toute simple :

    Le point G peut devenir aussi sensible que le clitoris

      Chez toutes les femmes

      Ton point G aussi

Spécialement pour toi, voici comment « réveiller » ton point G.

Ton point G est insensible ? anesthésié ?

Tu l’as cherché, et tu ne l’as pas trouvé. Alors, tu te demandes si tu en as un ?

Évidemment, que tu as un point G : toutes les femmes en ont un ! Mais tant qu’il est insensible, tu ne peux pas le ressentir, c’est évident. Il te sera même parfois impossible de le localiser d’ailleurs.

Il y a deux énormes pièges dans la recherche du point G : soit il s’est « fermé » pour te protéger, soit tu as une excitation insuffisante.

Donc, tu dois être bien excitée pour le chercher, avec le minou tout engorgé et gonflé.

Puis, s’il est insensible, tu dois le réveiller : il faut le rendre sensible, enlever son anesthésie.

Rassure-toi, beaucoup de femmes ont le vagin plus ou moins anesthésié. Mais tu peux le réveiller.

Tu peux le faire comme je te l’explique, à n’importe quel moment. Pas besoin d’être excitée : il faut plutôt être détendue.

Une protection ancienne

Pourquoi ton point G serait-il insensible ?

      Pour te protéger

Il s’est anesthésié, il s’est mis en mode « off ». C’est toi-même qui a mis cette protection en place, il y a des années sans doute, et de manière totalement inconsciente.

Te protéger de quoi ? Eh bien, d’une peur certaine ou hypothétique. Des exemples ?

d’un trop grand plaisir (tu n’es pas digne de plaisir)

de l’abandon dans l’amour qui fait que tu te sens vulnérable

du stress de la performance (arriveras-tu à le ressentir ?)

du qu’en-dira-t-on (c’est les s* ont besoin d’un point G, et tu n’en es pas une)

des convenances (ce n’est pas convenable)

du sexe tout simplement : ta maman te l’a bien dit : »Ne joue pas avec les garçons » etc etc.

Des vieux trucs, désormais inutiles… et pourtant, le blocage est bien là. Quand ton point G reste insensible, inconnu,  anesthésié, tu es débarrassée de ce problème : le point G n’existe pas, donc, ce n’est plus un problème.

Voilà comment fonctionne ta protection.

Alors, que faire maintenant ?

Parce qu’il faut bien admettre que cette protection t’a été utile pendant un temps.

Imagine : tu aurais eu l’air bizarre à offrir ton point G à tout le monde, non ? Comme un animal. C’est ce qui se serait passé si tu n’avais pas mis tes blocages. Mais tu es humaine, alors tu as placé des blocages bien utiles.

Mais bon, maintenant tu as grandi et tu es devenue capable d’assumer ton point G.

Maintenant, tu voudrais bien ressentir les délices qu’il procure…

Alors, tu souhaites lever ces blocages et jouir tranquillement de ton point G.

La préparation psychologique

Elle n’est pas absolument indispensable : tu peux attendre que les choses se fassent d’elle-même.

Mais elle est très utile et accélère les choses.

Car tant que tu refuses ton point G, il ne se donnera pas à toi. Il restera anesthésié.

En 2 mots, il faut que tu acceptes de ressentir les intenses sensations qu’il procure. Dès que tu auras accepté cela, il se donnera à toi, complètement.

Tu peux t’y préparer comme ceci :

Lors d’une séance de relaxation

D’abord, tu te relaxes. Plus tu es détendue, mieux ça marche.

Tu visualises – tu imagines – ton point G agréablement stimulé. Tu imagines qu’il te donne des sensations intenses et très agréables. Tu observes comment tu te sens, comment tu réagis. Est-ce agréable ?

Puis tu imagine la même situation, mais c’est ton amant qui te caresse. Il te donne des sensations de plus en plus fortes.

      Si tu ne veux pas exprimer ton ressenti devant ton amant, vas-y d’abord seule, ensuite très progressivement. Etc. Jusqu’à ce que tu te sentes à l’aise avec cette idée.

Parfois, tu te sens mal à l’aise ou gênée.

Dès que tu sens que ce n’est pas « bien » :

      Tu ralentis. Tu as trouvé un blocage

      Tu fais des essais de toutes sortes

Tu y vas plus en douceur, moins vite. Par exemple, si les sensations intenses t’inquiètent, essaie avec des sensations moins intenses, pour t’habituer progressivement.

Bref, tu joues avec tes sensations imaginaires…

En combien de temps ?

Le temps qu’il te faudra pour l’accepter  Pour t’accepter toi-même, ton corps, tes sensations.

Au fil des séances, tu iras de plus en plus loin.

C’est tout.

Quand tu te sens bien avec un point G qui t’envoie du bonheur, tu as déjà gagné.

Recommence aussi souvent que tu en as besoin.

Et l’origine du blocage ?

Aucune importance. Pas besoin de remonter à l’origine des blocages. Pas besoin de psychanalyse, de psychothérapie etc. Tu peux parfaitement ignorer pourquoi tu as placé ce blocage.

Ce qui est important, c’est que tes blocages ne restent pas en place ; qu’ils sautent, maintenant.

Peu importe pourquoi tu les as mis en place, maintenant, tu les fais sauter, parce que c’est ce que tu as décidé

        A partir de maintenant, tu t’autorises à ressentir le plaisir procuré par ton point G

Donc, tu décides de lever le blocage. Et ça suffit.

Puis, tu caresses ton point G pour du vrai

Quand tu as établi une complicité avec ton point G, quoi de plus agréable que de le caresser ?

Il se trouve juste derrière ton pubis, à l’entrée du vagin.

Quand tu es bien excitée, avec le minou et le clitoris bien gonflés, insère un doigt, plie-le et caresse-toi contre l’os.

Tu sens une zone ridée : tu es sur ton point G.

Si tu as besoin d’aide pour le trouver, lis mon article « Comment trouver ton point G »

Sexercice 1: Maintenant. Décide maintenant de réveiller ton point G.

Bravo. Tu as pris la bonne décision.

Sexercice 2. Au calme. Le soir quand tu t’endors, ou le matin, c’est parfait. Relaxe-toi et imagine une main invisible (la tienne) qui caresse ton point G. Imagine les sensations agréables et accueille-les joyeusement.

Refais-le aussi souvent que nécessaire.

Sexercice 3 : 4 semaines plus tard. Comment est-il maintenant ? Tu te rappelles ce que tu sentais le mois dernier ? Quel progrès ! Continue.

Christine Ooooohhhh !

PS : moi-même, je suis tellement copine avec mon subconscient aujourd’hui, qu’il me suffit de lui demander quelque chose pour qu’il le fasse instantanément. Donc, il me suffit de lui demander par exemple « je veux un point G plus sensible » pour qu’il le devienne aussitôt.

PPS : ça ne marche pas pour tout ! Il y a des règles à respecter. Mais c’est le principe.


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Illustration © Cristina Popescu | Dreamstime.com

Découvre le secret du véritable câlin. Celui qui t’emmène au 7e ciel.

28 octobre 2011

Testé et ô combien approuvé

« J’essaie de la faire jouir », nous dit Julien, « mais je sens bien qu’elle décroche par moments. Comment faire jouir ma femme ? »

« Je vois bien que Julien fait tout ce qu’il peut pour moi », confirme Julie. « C’est un très bon amant, très attentionné. Et pourtant, je n’ai pas autant de plaisir que je voudrais. Ou que je devrais. Alors, je stresse, et plus je stresse, moins j’apprécie ses efforts. Et mon orgasme s’éloigne, sans que je puisse rien faire… »

Tout le monde connaît cette situation. Elle est banale.

Un vrai câlin : tu es dedans, pas ailleurs !

Que peux-tu faire ?

Retourne à ton corps. Tout simplement.

Tu veux lui donner l’ultime volupté ? Fais-toi plaisir d’abord.

Quand tu câlines, mais que tu vérifies si ça marche au lieu de savourer le câlin que tu donnes, tu es dans ta tête. Et ce n’est pas gai : c’est un faux câlin. Stop.

Tu es dans ta tête : bouge-toi de là

Quand tu essaies de donner un orgasme ou du plaisir, tu es dans ta tête. Tu observes, tu évalues, tu juges.

Tu essaies d’être performant

« Est-ce qu’elle prend du plaisir ? Est-ce que je lui en donne assez ? Est-ce que je le fais bien ? Suis-je un bon amant ? » et même le fameux  » Est-ce qu’elle a un orgasme ?  »

Et quand tu essaies d’éprouver du plaisir, tu es encore dans ta tête. « Je voudrais avoir plus de plaisir… » Là aussi, la performance revient au galop : « Suis-je une bonne amante ? »

Tu observes l’autre, tu évalues les résultats de ton action

Tu juges la situation

Tu es loin de l’autre

Au lieu de prendre plaisir à ce que tu fais, tout simplement.

Tu « essaies » d’être bien au lieu « d’être » bien.  Nuance !

Reviens vite dans ton corps !

Arrête d’essayer de lui faire plaisir. Essayer, c’est déjà foirer : c ’est reporter la réussite à plus tard.  Ne reporte pas le plaisir à plus tard, quand tu auras réussi ceci ou cela.

Prend du plaisir tout de suite, maintenant

Sens le plaisir que tu prends à faire ce que tu fais

Concentre-toi sur tes sensations, sur ton corps

Sois dans le moment présent. Sois dans ton corps à toi. Près de lui, près d’elle.

Met-toi dans ton corps

Place-toi dans ta peau qui reçoit les caresses. Dans tes mains, qui touchent. Dans tes doigts qui titillent. Dans ta bouche et ta langue, qui sucent, lèchent, goûtent.  Dans ton sexe : dans ton clitoris, dans ton vagin, dans ton pénis…

Écoute ton corps. N’essaie pas de faire plaisir : prends plaisir à ce que tu lui fais

Et l’autre prendra plaisir à ce que tu lui fais.

N’essaie pas de lui faire plaisir, non. Prend plaisir à lui faire plaisir.

Fais-lui ce que tu as du plaisir à lui faire.

Et si ça ne te fait pas plaisir ?

Si ça ne te fait pas plaisir, ça ne lui fait pas plaisir non plus.

C’est devenu un faux câlin

Tu es revenu dans ta tête

Fais autre chose

Ressens ton plaisir

Tout ton corps reçoit du plaisir. C’est ce plaisir que tu peux ressentir et cultiver.

Le plaisir que tu as à caresser l’autre. Le plaisir que tu as à le lécher, à le baiser… La volupté d’être ensemble, de se faire tout ça…

Tu donnes ce que tu as

Et quand tu prends plaisir à caresser, à baiser… ça se sent.

Alors, elle prend plaisir à recevoir tes caresses. Tu les donnes avec tant de plaisir !

Plus tu aimes lui donner du plaisir…

…plus elle aime le recevoir

L’autre ressent le plaisir que tu as à le caresser, à lui faire du bien.

Plus tu prends du plaisir à lui faire plaisir, plus sa volupté grandit

« Maintenant, Julien ne m’observe plus : il prend plaisir à me câliner. Je suis très détendue. Il a tellement de plaisir à m’en donner ! La tête me tourne. Je sens son plaisir. Ça m’emmène vers des sommets inconnus », nous dit Julie.

Et ça change tout !

Sexercice 1 : Place-toi dans tes doigts. Tu sens le plaisir qu’ils ont à faire ce qu’ils font ?

Sexercice 2 : Quand tes doigts ne ressentent plus de plaisir, il est temps de passer à autre chose. Le plaisir revient ? Parfait, continue.

Christine d’Ooooohhhh !

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Crédit photo:© Dmitrijs Terentjevs | Dreamstime.com

Comment transformer ton corps en machine à fabriquer le bonheur absolu – 24h/24

21 octobre 2011

Testé et approuvé

Imagine ton corps. Il t’envoie du bonheur.

Tes jambes, tes bras, ton ventre t’envoient un bien-être absolu.

Sans sexe. Tout le temps.

Comme une sorte d’orgasme prolongé, un orgasme permanent.

Difficile à croire, non ?

Et pourtant, c’est la vérité : je le vis depuis 2 semaines.

D’autres le font. Et je sais que tu peux le vivre aussi. Si tu veux.

Ce bonheur-là... tout le temps

Le bonheur du corps

Ton corps ne demande qu’à te donner sa joie de vivre. Si tu l’écoutes. Et que tu veux bien recevoir cette joie.

On ne le sait pas. On pense que le corps n’envoie que de la douleur – ou rien, qu’il se tait.

Mais ton corps t’envoie aussi du plaisir et du bien-être, autant qu’il peut. Il aime ça.

On ne le sait pas. Tu le savais ? Moi pas.

Une caresse sur tout le corps

Imagine que ton amant te caresse, la cuisse par exemple. Ou le bras.

Tu sens le plaisir sous la caresse ? Bien. Maintenant, il enlève sa main, mais tu sens encore sa caresse.

Ta cuisse, ton bras se rappellent et ils continuent de sentir ce bien-être. Ton corps continue de te l’envoyer.

Comme quand tu as mangé du chocolat : le goût dure encore longtemps après que tu l’aies avalé.

Maintenant, imagine que ce bien-être s’étend à tout ton corps. Ton bras, ta cuisse, mais aussi toute ta jambe. Tes fesses, ton dos. Ton ventre est plein de papillons. Tout ton corps.

Voilà ce que ton corps peut t’envoyer. Si tu veux bien.

Et ça dure ?

Au début, tu penses que ça va s’arrêter. Tu as déjà vécu quelque chose dans ce genre, ça s’est arrêté tout seul.

Mais là, tu as poussé sur un bouton spécial. Cette fois, ça ne s’arrête plus.

Ça t’embête ?

Pas du tout, ça ne t’empêche pas de vivre ta vie normalement. Les gens ne voient rien si tu ne leur dis pas.

Sauf peut-être ce sourire béat collé sur ton visage. Il montre ton grand bien-être.

C’est fort ?

Pas tellement. Tu le sens surtout quand tu y fais attention.  Ce n’est qu’un début.

D’autres personnes qui vivent la même chose te disent que tu vas t’habituer. Et que ça peut monter en puissance, pour t’emmener vers de nouveaux sommets.

Plus tu y fais attention, mieux tu le sens.

Ton corps te parle 

Tu comprends vite que la relaxation, la nature, le sport, voir les amis, tout ça  augmente cette sensation.

Et que les disputes, le stress en général la diminuent, la font partir même.

Tu comprends très vite ce qui est bon pour toi. Ton corps te le fait savoir tout de suite.

C’est génial, non ?

Saine fatigue

En attendant, il faut gérer tout ce bien-être. C’est que tu n’as pas encore l’habitude !

Quel changement !

En fait, tu as baissé un seuil de sensation, et maintenant tu arrives à sentir chaque poil de ton corps – quand il se manifeste.

C’est bizarre de sentir un poil de ton bras quand tu le bouges. Tous en même temps, ce sera pour plus tard peut-être, si tu le veux.

Ton corps doit s’adapter à cette masse d’infos agréables.

Comment faire pour y arriver ?

Pour y arriver toi aussi, tu peux faire comme moi. Sans aucune garantie : c’est toi qui dois faire tout le travail…

Ce qui me semble le plus important dans tout ce que je fais, c’est :

Colle un sourire sur ton visage, tout le temps et quoi qu’il arrive

Accepte de changer. Mieux encore, changer est une des meilleures choses qui puisse t’arriver. Ça permet d’évoluer, de t’améliorer. Changer, c’est vivre

Fais de la relaxation, médite, promène-toi, fais du sport : va à la rencontre de ton moi profond

Lève tes blocages quand tu les découvres

Aime. La  vie, toi, les autres. Autant que tu peux, et laisse-toi aller à aimer

Que du bon, non ?

C’est tout le bonheur que je te souhaite.

PS: Au passage, je remercie mes amis : ils m’ont tellement aidé.

Ooooohhhh !

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Crédit photo: Stocklib © Lev Olkha

Comment j’ai arrêté de contrôler ton cul

14 octobre 2011

Bien sûr, on ne contrôle le cul de personne : chacun est libre de faire ce qu’il veut avec son cul. Tu penses ça aussi, non ?

Alors, où est le problème ?

Le problème ? J’essaie vraiment de mettre le grappin sur ton  cul. Pour du vrai. Tout en disant que « Non, je ne fais pas ça ».

Il y a quelque chose qui cloche, non ?

Contrôler ton cul ? Une grosse illusion !

Te le dire ?

Quand j’ai démarré ce blog, la question était : le montrer à mes amis ? Te le dire en face ?

C’est bien de te le dire, parce que ce sera amusant. Quand tu le lis, tu peux  en parler, donner ton avis, des idées. Bref, c’est gai.

En même temps, je trouve 1001 raisons de ne pas te le dire : mes proches  vont en souffrir, tu vas me prendre pour une obsédée du clitoris…

Et alors ? C’est normal, ça, non ? Il est où, le problème ?

Interdit d’essayer

Le problème c’est que tout ça, ce sont de fausses excuses.

La vraie raison, c’est que… je refuse avec force que tu fasses tout ce que j’explique ! Avec une force stupéfiante. J’en deviens enragée.

Je ne veux pas que tu lises mon blog, parce que je ne veux pas que tu utilises  mes recettes. Que tu les connaisses. Que tu en profites avec d’autres…

Comme si tu en avais besoin !

Alors, je garde cette info pour moi.

N’importe qui a le droit d’essayer les trucs que je donne. En théorie.

Mais pas toi !

Paradoxal, non ?

Contrôler ton cul

En réalité, loin de protéger quelqu’un: c’est un contrôle de ce que tu fais avec ton cul. Une tentative du moins.

En refusant de te donner mes informations.

J’ai des trucs ? Je les garde pour moi, et tant mieux si tu ne les connais pas : je ne te les donnerai pas.

Comme ça, c’est moi qui décide si tu peux faire ces trucs-là ou pas.

Et je camoufle ça en « Je dois protéger ma vie privée ».

Une illusion de pouvoir

C’est fou, non ? Un belle tentative de prise de contrôle sur ton cul,  bien camouflée sous une pseudo générosité.

Bon. Te contrôler, dans mon système de valeurs, ce n’est pas bien. Je veux que tu sois libre.

J’ai donc levé ce blocage – je supprime les blocages dès que je les trouve.

J’ai lâché le contrôle que j’essaie d’avoir sur toi. J’ai lâché prise. Je t’ai rendu ta liberté.

Tu l’as toujours gardée d’ailleurs. Ce n’était qu’une illusion.

Maintenant, je peux te dire que j’ai un blog.

Et tu sais ce qui s’est passé ?

Liberté et récompense

Maintenant, c’est moi qui suis libre.

Et j’ai reçu une des plus grosses récompenses de ma vie :

Mon corps m’envoie des tonnes de plaisir.

Tu liras ça dans mon prochain billet. Ça décoiffe. C’est vraiment dingue. Tu en resteras baba.

Ooooohhhh !

Pourquoi je te tutoie

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Crédit photo: Stocklib © Chris Harvey

Le secret bien gardé des femmes les plus sensuelles

12 octobre 2011

Un jour, dans le métro, un homme me regarde d’un air que je trouve un peu bizarre, et vient s’asseoir à côté de moi.

Il y a du monde. Nous sommes serrés. Sa cuisse touche la mienne. Un peu beaucoup quand même, je trouve. Je ne fais plus attention à lui.

Les gens autour de moi ont une attitude bizarre : ils nous regardent.

Et soudain, le gars se met à tressaillir. Là, je comprends tout de suite : il est en train de jouir dans son slip !

Je trouve ça très drôle ! Le gars se lève précipitamment et sort en 4e vitesse, tête baissée, pas fier. Il l’avait fait exprès.

Oui, tu peux jouir sans te toucher.

Jouir sans les mains.

Et hop ! un petit orgasme, ni vu ni connu

Un orgasme assise dans le métro ?

Ou en faisant la queue ? Pour les hommes, je ne sais pas comment il faut faire.  Mais pour les femmes c’est assez facile.

Ni vu, ni connu. Sois sûre qu’elles le font.

Voici quelques recettes.

Testé et approuvé.

Remarque très importante :

Fais ça uniquement dans un lieu sûr ! Tu risques de te faire aborder par des inconnus.

Presser le clitoris jusqu’à l’explosion

Avec ou sans petits mouvements : presser, alléger la pression, presser à nouveau etc.

C’est une recette de masturbation bien connue : presser le clitoris en s’asseyant dessus. Tu « t’assieds » sur un coin de table, un lavabo, la baignoire, mais face à la table. Assise à l’envers, quoi…

Très pratique quand tu as les mains chargées de courses par exemple 😆

Ou bien, tu presses quelque chose contre ton clitoris : un coussin ou un oreiller, mais aussi un gode, un canard vibrant ou même un pénis en érection.

C’est bien, mais il n’y a rien de plus discret ?

Car s’asseoir sur le coin de la table ou presser le coussin du canapé sur son sexe devant tout le monde, ça fait un peu bizarre…

Assise, n’importe où

La recette du jean est plus discrète

Julie est dans l’amphi. Cours très sérieux.

Sans savoir pourquoi, elle est très excitée. Les hormones sans doute.

Elle porte un jean. La couture du pantalon passe devant son clitoris. Elle se laisse glisser en avant de quelques cm. Parfois, elle tourne son bassin. Le pantalon reste collé au fauteuil.

La couture presse le clitoris. C’est délicieux : exactement ce qu’il lui faut.

Elle bascule un peu le bassin de gauche à droite. Ça caresse le clito.

Et boum : un orgasme. Ni vu ni connu.

Elle sourit, se redresse. Le cours continue.

C’est plus cool qu’en voiture quand tu conduis. Tu dois t’arrêter par prudence dans ce cas-là.

Dans la queue, à la caisse du supermarché

Julie a fini ses courses et fait la queue. Comme elle est excitée, elle serre les cuisses l’une contre l’autre.

Ça presse son clitoris. C’est délicieux.

Elle recommence, à plusieurs reprises, et boum ! un orgasme.

C’est son tour. Elle sourit à la caissière.

Un mot-clé : l’excitation

Il est évident qu’il faut un certain degré d’excitation pour avoir un orgasme ainsi.

Mais que de bonne humeur par après à la place de la tension !

Beaucoup de femmes font ça.

Tu peux le faire aussi. Ça ne se voit pas : ce n’est pas non plus le méga-orgasme où tu perds connaissance. C’est un petit orgasme en passant – ou un plus gros.

Il y a aussi les orgasmes « spontanés »

à cheval ou à vélo (pas fréquents, mais réels), quand le clitoris appuie contre la selle.

Pas facile de rester sur un cheval pendant l’orgasme !

Et les orgasmes qui te tombent dessus sans prévenir.

Et ceux que tu as quand il te touche l’épaule ou l’oreille…

À chacune les siens, nous sommes toutes différentes.

Et les hommes ?

Les hommes le font beaucoup plus rarement. J’imagine que ce n’est pas très gai d’avoir du sperme dans le slip !

Mais réfléchis : quand tu bandes, que tu presses ton pénis contre elle par exemple, ça ne te ferait pas jouir si tu ne te retenais pas ?

Sans les mains, soit. Mais sans rien toucher ?

Dans ces quelques recettes, tu ne te touches pas avec les mains, mais tu te touches avec un objet ou tes cuisses.

Il faut bouger, si peu que ce soit.

Sais-tu aussi comment le faire en restant parfaitement immobile ?

Je t’expliquerai ça dans un prochain billet.

Et toi ?

Nous sommes toutes différentes, et je ne connais pas tout, loin de là.

Connais-tu d’autres recettes pour jouir sans les mains ? Partage-les, je serai ravie de les lire et d’apprendre du nouveau. Mes lectrices et lecteurs aussi, merci pour eux !


Ooooohhhh !

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Et si tu avais une longue nuit d’amour avant la fin de ce mois ?

17 août 2011

« Parfois, mon orgasme arrive trop vite, dit Julie. Je ne peux pas me retenir. Mon chéri voudrait encore continuer… et moi aussi. Je voudrais pouvoir l’épuiser, même. Faire l’amour toute la nuit.

Puis je retarder mon orgasme ? »

D’abord, félicitations, car beaucoup de femmes voudraient avoir un orgasme tout simplement. La technique que je te donne ici leur sera utile aussi.

Alors, quel est le secret pour retarder ton orgasme ?

Serre ton muscle d’amour

Le muscle de ton périnée s’appelle le « muscle pubo-coccygien » car il va du pubis au coccyx. On l’appelle aussi le muscle d’amour.

orgasme, retarder l'orgasme, faire l'amour toute la nuit

Faire l'amour toute la nuit ? Avec le muscle de l'amour.

Quand tu « serres » ton périnée, tu contractes ton muscle d’amour.

Tu peux regarder ta contraction dans un miroir.

C’est ce muscle qu’il faut serrer. Bien fort.

Pas besoin de jouer avec le clitoris ou le vagin, de se contorsionner, rien de tout ça.

Quand faut-il le serrer ?

Avant les contractions

Serre-les juste avant que les contractions de l’orgasme commencent.

Nous avons le même point de non-retour que les hommes. Juste après, c’est trop tard, et l’orgasme se poursuit inévitablement.

En fait, l’orgasme commence avant les contractions. C’est à ce moment-là qu’il faut serrer bien fort.

Ce n’est pas facile de bien l’identifier, donc, au début, ton orgasme t’échappera plus d’une fois. C’est vraiment une question d’entraînement : le faire encore et encore.

Ça coupe le plaisir alors ?

Le plaisir reste intense

Ça coupe l’orgasme, mais pas le plaisir. Tu auras un orgasme qui commence, mais qui ne se termine pas. Tu le coupes au moment où il va redescendre.

Tu peux continuer comme avant.

Ton plaisir reste intense.

Il peut redescendre un peu, mais il revient très vite au sommet.

Et ainsi, tu restes au sommet. Tu peux faire l’amour toute la nuit si tu veux.

Exercices

Savoir ce qu’il faut faire, c’est bien. Mais ça n’aura aucun effet tant que tu ne le feras pas !

Exercice 1 : Trouve ton muscle d’amour et contracte-le bien fort. Plus il est musclé, mieux ça marche.

Exercice 2 : Contracte ton muscle d’amour avant l’orgasme, juste avant le point de non-retour. Tu peux le faire en te caressant ou pendant l’amour. Cherche ce point de non-retour, et serre de plus en plus tard.

C’est l’entraînement qui fera la différence.

Ooooohhhh !

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Image © Andres Rodriguez

Vaginale ET clitoridienne, bien sûr

30 avril 2011

 Clique ici pour la version masculine de cet article

u es clitoridienne ou vaginale ?

Julie est une clitoridienne. Ça veut dire que ses orgasmes viennent surtout de la stimulation de son clitoris.

Marie est une vaginale. Ça veut dire que ses orgasmes viennent surtout de la stimulation de son vagin.

Etre clitoridienne, ce serait mieux que d’être vaginale. À moins que ce ne soit l’inverse ?

L’orgasme vaginal serait mieux que l’orgasme clitoridien. À moins que ce ne soit l’inverse ?

Es-tu clitoridienne ou vaginale ? Question bizarre entre toutes :

Tu es clitoridienne ET vaginale, bien sûr.

Ton clitoris et ton vagin s’activent ensemble quand tu as un orgasme ! Ils sont tout proches l’un de l’autre. Quand l’un s’excite, l’autre aussi.

La fin de la séparation

On le voit tout de suite, cette division est ridicule. C’est de la masturbation intellectuelle, pas du vécu.  Un orgasme est un orgasme, c’est tout. Clitoris et vagin participent.

Nous sommes toutes différentes et nous évoluons. Pourquoi serais-tu une fois pour toutes comme ceci ou comme cela ? Pourquoi te fermerais-tu à une part de toi-même ?

Tu peux expérimenter les joies du clitoris et du vagin ensemble ou séparément. Comme tu le veux, comme tu le sens. Et quand tu veux. Il n’y a pas de règle, pas de « normalité ». C’est comme tu le sens.

Tu apprends du neuf

Oui, me diras-tu, mais je n’ai jamais eu d’orgasme vaginal. Ou bien : Je n’ai jamais eu d’orgasme clitoridien. Ou bien encore : Je n’ai jamais eu d’orgasme du tout. Ou bien : Je n’ai jamais ressenti de plaisir sensuel. Etc.

Mais tout ça, ça s’apprend ! Bien sûr, certaines d’entre nous sont des championnes et on dirait qu’elles ont fait ça toute leur vie, tellement elles sont douées. Mais nous pouvons toutes apprendre, et la plupart d’entre nous le font sur des années. Une femme est beaucoup  plus à l’aise avec son corps à 30 ans qu’à 20 ans. Et ça continue par la suite…

Si tu le veux

Tu te rappelles qu’il y a eu un moment où tu ne connaissais rien en sensualité ? Tu n’étais qu’une toute jeune adolescente. Et tu étais ouverte à toutes les expériences, tu voulais tout apprendre, tout connaître.

Aujourd’hui encore, c’est toi qui décides.

Et tu n’as aucune raison de  renier une partie de ton corps, une partie de toi-même : toutes les parties de ton corps sont bonnes pour toi. Tu peux aimer tout ton corps ; le contraire serait ridicule.

Tu as plein de zones érogènes sur ton corps : tes seins, tes cheveux, ton cou, ton dos… Toutes peuvent te conduire à l’extase… Et tu exclurais une partie de ton sexe ? Ce serait absurde.

Et même si tu es plus douée pour une partie, tu peux aussi le devenir pour l’autre.

Ooooohhhh !

Pourquoi je te tutoie

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Comment trouver ton point G

14 avril 2011

Eva connaît son point G depuis longtemps. Elle sait comment s’en servir pendant l’amour, comment le stimuler sous les caresses, comment il est un puissant allié pour provoquer un magnifique orgasme. Elle sait qu’elle a un point G, et ça lui donne une belle assurance. Elle est sûre d’elle, et ça se voit. Elle est à l’aise avec sa sensualité, qu’elle assume de mieux en mieux et avec le sourire.

Marie sait qu’elle a sans doute un point G, mais où se trouve-t-il ? Son amant n’a jamais réussi à le mettre en évidence, et elle non plus. Du coup, elle doute un peu de son existence. Elle sait pourtant que le point G est important pour elle, comme il l’est pour toutes les femmes. Pour toi aussi. Marie aimerait bien être comme Eva, à l’aise avec sa sensualité…

Alors, pour devenir un peu plus comme Eva, voici comment trouver ton point G.

Quelques précautions d’abord

Amour, affection et délicatesse. Un point G, ce n’est pas anodin, et ça peut déclencher des ressentis tellement intenses qu’ils en deviennent insupportables. Normalement, tout devrait bien se passer, mais autant être averti. Si quelque chose ne va pas comme prévu, arrête ; tu reprendras plus tard.

Localiser ton point G

Localiser ton point G est assez facile : il se trouve exactement au bout de tes doigts. Simple et pratique, non ? On aurait voulu le faire exprès, on n’aurait pas fait mieux ! Alors, au travail !

Au bout du doigt

Insère ton médius ou ton index ou les deux dans ta fente. Remonte ton doigt le long de la paroi antérieure de ton vagin (la paroi située vers l’avant). Il ne faut pas aller très profond.  Quand deux phalanges sont insérées : ça y est, tu es au bon endroit.

Si tu caresses la paroi de ton vagin à cet endroit, contre ton os du bassin, à l’avant, tu trouveras une zone plus ou moins lisse si tu n’es pas excitée, et des rides d’autant plus marquées que tu es fort excitée. Il y a un réel changement selon l’excitation, et tu peux t’examiner dans les 2 cas, pour sentir la différence au bout de tes doigts.

Excitation indispensable

Pour se montrer, le point G doit être excité. C’est-à-dire que toi, tu dois être fort excitée. Au repos, ton point G est absolument invisible à l’œil nu ou au toucher, et en général absolument insensible. Impossible de le trouver donc, et c’est ce qui explique qu’on ait du mal à le mettre en évidence.

Lorsque tu t’excites, ton clitoris se met à gonfler. Il se gonfle lentement, et il faut une stimulation (des caresses) prolongée pour y arriver. Facilement 15 minutes de caresses…

Inutile même d’essayer de trouver ce fameux point G quand tu n’es pas assez excitée : il se cache, il reste invisible…

Mais lorsque ton clitoris est bien gonflé, ton point G montre la tête. Il gonfle aussi.

Dans toute sa splendeur

Quand tu insères ton doigt dans ta fente, pas trop profond, et que tu te caresses sur ton os du bassin avec la pulpe du doigt, au milieu, tu es exactement au bon endroit. Tu peux sentir la zone avec les rides. Il te faudra peut-être chercher un peu pour trouver la boule, un peu plus haut ou un peu plus bas.

Les rides dans la zone du point G apparaissent avec l’excitation, si elles sont absentes au départ. Elles deviennent plus marquées, apparentes, visibles à l’œil nu, identifiables sous les doigts qui caressent. Ces rides et la zone qui entoure le point G sont extrêmement sensibles, et procurent beaucoup de plaisir sous la caresse, quand elles sont sensibles.

Le point G lui-même, quelque part au milieu de cette zone, se montre comme une petite boule plus ou moins souple ou dure, gonflée, de la taille d’un petit pois ou d’une noisette – à chacune le sien, et peu importe la taille. Tu peux voir cette boule à l’œil nu (avec l’aide de ton amant et d’un miroir), et la sentir sous les doigts.

Bravo, tu as trouvé ton point G !

Attention : autres zones érogènes

Une erreur fréquente est de confondre le point G avec d’autres zones érogènes situées plus haut, plus bas ou autour – il y en a vraiment beaucoup dans cette région !

Ce n’est pas grave en soi, mais la boule se trouve seulement dans le point G. Pour éviter les malentendus, réservons le nom de « point G » à la boule.

Une rude caresse

Le point G aime une caresse assez rude. Avec amour et affection, il s’éveillera sous la caresse la plus légère,  mais souvent on n’en est pas encore là, et il te faudra sans doute une caresse soutenue pour le stimuler.

Donc, quand tu as trouvé ton point G – tu le vois, tu le sens sous tes doigts – il te reste à le stimuler, pour qu’il t’envoie ces fameuses ondes de plaisir.  Bien sûr, ton amant sera ravi de t’aider !

Ton point G est-il sensible ?

C’est là que tout peut se compliquer, s’il n’est pas encore sensible…. Car assez souvent, le point G n’est pas sensible du tout. Tu l’as trouvé, tu le stimules correctement, et … tu ne sens rien de rien. Encore un piège… Pas grave, tu peux t’en sortir et le rendre sensible.

Mais c’est une autre histoire, que je te raconterai une autre fois !

Ooooohhhh !

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Cinq bonnes raisons de cultiver ton orgasme !

10 juin 2010

Te faire grimper aux rideaux, te faire hurler de plaisir …
Pour y arriver, il faut qu’il y mette du sien. Il s’occupe de toi, il soigne les préliminaires et te conduit au plus haut degré d’excitation, il te fait sentir combien tu es désirable, te montre combien il te désire …
Mais pourquoi prendre toute cette peine … puisqu’il arrive à avoir le sien facilement ?

Ton couple

Vous savez tous deux que le sexe est important dans le couple.
Mais avez-vous réalisé à quel point ?
Un couple peut-il durer quand la femme n’a que peu d’orgasmes ?

Voici donc les cinq bonnes raisons de cultiver ton orgasme :

1. Tu deviens accro au sexe

Faire l’amour quand on arrive de temps en temps à l’orgasme …  bof… ça devient lassant. L’attrait des débuts s’estompe, la routine s’installe …
Rien de tout cela quand tu arrives très souvent à l’orgasme : le sexe devient le plaisir qu’il doit être. L’orgasme étant ce qu’il est, tu souhaites le revivre aussi souvent que possible.
Tu deviens accro au sexe et tu en redemandes !

2. Tu le lui rends au centuple

Arrivée un tel niveau d’excitation et pleinement satisfaite, tu débordes d’affection et de reconnaissance.
Il ne doit même plus te prier : tu deviens cette déesse érotique dont il a toujours rêvé …

3. Il devient un dieu du sexe

Un homme capable d’une telle performance est renforcé dans sa virilité.
Il se sent très sûr de lui, et les autres remarquent cette force intérieure.
Venue d’on ne sait où, la rumeur se répand. Hommes et femmes le considèrent d’un autre œil.

4. Tu l’as, tu le gardes

Un homme pareil, on le garde pour toujours !
La stabilité du couple est assurée.
Pourquoi irais-tu chercher ailleurs ce que tu as chez toi en abondance ?

5. Tu es heureuse

Ton corps et ton cerveau produisent en abondance les hormones liées à l’attachement et au bien-être.
Chaque rencontre renforce les liens qui vous unissent.
Tu baignes dans le bonheur. Tu rayonnes.
Tu partages ce bonheur avec ceux que tu aimes et …

… tu adores ton dieu du sexe.

Ooooohhhh !

(more…)

Il bande, tu mouilles

1 Mai 2010

Il bande, tu mouilles

C’est une évidence et tout le monde le sait :

Lui, il bande.
Toi, tu mouilles.

Ton corps de Femme

Quand ton corps mouille, il exprime sa joie de vivre, son appétit de la vie.
Tes pensées, ton toi qui raisonne, sont d’accord ou non, ça ne change pas grand-chose.
C’est un signe de bien-être.

Ta féminité

Lui, il ne mouille que très peu : quelques gouttes s’échappent de son phallus lorsqu’il est très excité. Ce liquide n’est pas le même que chez toi.
Toi, tu as des organes qui sont faits pour mouiller. Il sont directement reliés à ton clitoris.
Ton clitoris ressent ton bien-être et il lance le processus d’excitation.
Et tes glandes fabriquent ta cyprine, ce liquide clair et un peu visqueux typique de ton excitation.
Ça commence quand tu es adolescente, et ça ne s’arrête jamais plus.

Ton appétit de vivre

Dans ta vie de femme, tu mouilles sans le vouloir, exactement comme il bande.
Tout d’un coup, tu te rends compte que tu es mouillée.
Après, ton slip est mouillé aussi.
Puis il refroidit, et cette fraîcheur te rappelle ton intense appétit de la vie.

Ton cadeau d’amour

Pendant l’amour, tu mouilles en abondance. C’est un signe : tu es bien dans l’instant présent.

Tu penses à bien relâcher ton anus

Les caresses de ton amant te plaisent.
Imagine ce qu’il ressent quand il voit qu’il te fait cet effet !
C’est un beau cadeau que tu lui fais.
Et ça le rend heureux. Il se sent fort et viril.
Alors, tu lui dis quand tu es mouillée.
Tu en es fière.

Et tu le lui montres.

Ooooohhhh !

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